productivité Archives | Blog Wrike
Responsable de groupe, Chef, Coordinateur
Server error. We're really sorry. Wait a few minutes and try again.
Responsable de groupe, Chef, Coordinateur
Server error. We're really sorry. Wait a few minutes and try again.
Connexion Contact ventes

productivité

Responsable de groupe, Chef, Coordinateur
Server error. We're really sorry. Wait a few minutes and try again.
Les salariés français, champions d’Europe des outils de productivité
Productivité 5 min. lus

Les salariés français, champions d’Europe des outils de productivité

A la différence des autres grands pays européens, la productivité dans les entreprises françaises continue d’augmenter à un rythme soutenu, à la fois pour les salariés à titre individuel et pour les groupes de travail dans leur ensemble. Cette particularité française s’accompagne d’un taux d’adoption plus rapide qu’ailleurs de la dernière génération d’outils de productivité, le plus souvent en mode cloud, de type CRM, gestion de projet ou travail collaboratif. Toutefois, pour les salariés français, de nombreux facteurs freinent encore la productivité des groupes de travail. Telles sont les conclusions supplémentaires de l’étude menée au troisième trimestre 2016 à l’initiative de Wrike, conjointement auprès d’un échantillon représentatif de 1000 professionnels dans des entreprises de toutes tailles en France, en Allemagne et au Royaume Uni. La France en avance sur la productivité des groupes de travail Les français, on le sait, compensent leur faible nombre d’heures travaillées par une productivité élevée. L’étude Wrike confirme cette tendance. 53% des salariés français interrogés déclarent que leur productivité a encore augmenté depuis un an, un peu (33%) ou significativement (20%). Ces chiffres sont largement inférieurs en Allemagne et au Royaume Uni. Seuls 47% des salariés allemands ont vu leur productivité augmenter, dont 37% un peu, et seulement 10% significativement. Les chiffres sont encore plus faibles au Royaume Uni, où seuls 26% des salariés interrogés ont vu leur productivité augmenter, dont 20% un peu et 6% significativement. Tout aussi instructif, la productivité des équipes ou des groupes de travail en France a augmenté quasiment au même rythme. 51% des salariés interrogés déclarent que la productivité de leur équipe a augmenté depuis un an, 33% un peu, et 18% significativement. Ces chiffres sont à comparer avec ceux de l’Allemagne (30% un peu, 10% significativement) et du Royaume Uni (21% un peu, 4% significativement). Les nouveaux outils de productivité ont la cote Ces résultats sont à mettre en regard des taux d’adoption des outils de productivité de dernière génération dans les trois pays étudiés. Comme le montre l’étude, les entreprises françaises sont également en avance pour l’adoption des outils de CRM, de gestion de projet et de travail collaboratif. Respectivement 32,4%, 28% et 23,9% des salariés interrogés déclarent les utiliser dès à présent, à comparer avec l’Allemagne (24,5%, 24,6% et 16,9% respectivement) et le Royaume Uni (17,7%, 17% et 14,8% respectivement). Cette hiérarchie se retrouve lorsque l’on examine le nombre d’outils informatiques de productivité utilisés dans les trois pays. Aux dires des personnes interrogées, le nombre moyen d’outils pour la France s’établit à 5,24, alors qu’il n’est que de 5,01 pour l’Allemagne, et de 4,37 pour le Royaume Uni. En outre, ce chiffre a augmenté depuis un an pour 71% des salariés interrogés en France, contre 60% en Allemagne et 46% au Royaume Uni. De puissants freins impactent toujours la productivité des groupes de travail Toutefois, malgré une productivité toujours en hausse et un taux d’adoption des nouveaux outils informatiques plus élevé qu’ailleurs en Europe, de nombreux obstacles freinent toujours la productivité des équipes en France. En tête de ces freins, d’après les salariés interrogés, figurent par ordre d’importance le multitâche, ou la nécessité de gérer plusieurs tâches simultanément, suivi de près par l’overdose de réunions inutiles, source importante de pertes de temps, et la prolifération des emails, un mal endémique qui figure nettement en tête des obstacles en Allemagne comme au Royaume Uni. Pour remédier à cette situation et accroître la productivité des groupes de travail, les salariés français interrogés préconisent en premier une meilleure communication sur les tâches et les responsabilités de chacun (34,5%), suivie d’une meilleure communication au sein des équipes (27,9%), suivie d’une meilleure visibilité sur la charge de travail de chacun (22,6%). Des fonctionnalités qui font justement le succès des nouvelles solutions de gestion des tâches en mode collaboratif telles que Wrike. « La forte hausse de la productivité constatée en France est un signe encourageant. Elle montre que les salariés français compensent l’accroissement de leur charge de travail en travaillant plus efficacement, notamment en adoptant plus rapidement qu’ailleurs les outils informatiques de nouvelle génération en mode cloud. Mais la prolifération des emails et la multiplication des réunions inutiles restent des handicaps majeurs, et il sera intéressant de voir comment les entreprises s’y attaquent en 2017, » a déclaré Andrew Filev, CEO de Wrike.

Stress au travail : pourquoi le ressentez-vous et comment y remédier
Productivité 3 min. lus

Stress au travail : pourquoi le ressentez-vous et comment y remédier

Le stress au travail semble être la nouvelle norme de nos jours. Nous avons identifié les raisons pour lesquelles nous sommes si stressés au travail et les façons d'y remédier.

5 solutions pour maximiser la productivité mobile
Publications 3 min. lus

5 solutions pour maximiser la productivité mobile

Envoyer des e-mails professionnels, vérifier votre agenda, discuter avec des collègues via la messagerie instantanée ; nous avons recours à nos smartphones et tablettes pour rester connectés à notre bureau. Mais il n'est pas toujours simple d'être productif sur un appareil mobile. Les écrans plus petits, les claviers minuscules et les notifications entrantes relatives aux événements professionnels et personnels peuvent ruiner votre concentration et causer de graves problèmes. Les personnes ayant répondu à notre récente enquête sur la productivité mobile ont indiqué que leurs plus grandes sources de stress provenaient du fait de travailler avec des appareils mobiles. Consultez l'infographie ci-dessous pour obtenir des solutions à 5 de ces défis et transformer votre téléphone mobile en arme secrète pour la productivité au travail.   Partagez cette infographie avec vos collègues mobiles en la partageant sur les réseaux sociaux ou en l'intégrant sur votre site avec ce code :

Positivité sur le lieu de travail, Q&A avec le spécialiste Shawn Achor
Leadership 10 min. lus

Positivité sur le lieu de travail, Q&A avec le spécialiste Shawn Achor

Comment définissez-vous le bonheur ? D’après vous, en quoi est-il lié à la productivité de votre équipe ? Vos employés et collègues sont-ils heureux ? Ces réponses concernent bien plus que les émotions et les interactions au quotidien. Elles influent directement sur le chiffre d’affaires et la culture de votre entreprise. Alors que nous faisons de notre mieux pour nous libérer de toute distraction et menons des recherches sans fin sur la manière d'obtenir un avantage sur les concurrents, nous en oublions le plus grand stimulateur de la productivité et l’avantage concurrentiel par excellence : un environnement de travail positif. Nous avons discuté avec Shawn Achor, auteur sur le bonheur, cofondateur et PDG de GoodThink, et conférencier sur TED, de l'importance du bonheur sur le lieu de travail et de l'impact scientifiquement prouvé de la positivité sur une entreprise. Découvrez l'intégralité de l'entretien ci-dessous : 1. Comment définissez-vous le bonheur ? Cette définition change-t-elle au fur et à mesure que nous vieillissons ? Nous devons redéfinir ce que signifie le bonheur. Les Grecs anciens définissaient le bonheur comme étant « la joie ressentie en s'efforçant d'atteindre notre potentiel ». Cela modifie notre quête du bonheur. La joie est quelque chose que vous pouvez ressentir même lorsque la vie n'est pas toujours facile, même lorsqu’une situation est déplaisante. Et la joie est quelque chose que nous ressentons et qui nous élève vers notre potentiel ou croissance. Nous nous rapprochons de notre potentiel lorsque nous évoluons dans nos relations, ou dans notre appréhension du monde, ou en tant qu'êtres humains altruistes et compatissants. L'opposé du bonheur n'est pas le malheur. Le malheur peut nous encourager à faire des changements positifs. L'opposé du bonheur est l'apathie, la perte de joie dans notre vie. À mon avis, cette définition ne change pas au fil du temps. 2. Comment pouvons-nous faire une distinction entre le bonheur à long terme et des périodes temporaires de plaisir et de réussite ? Ayant voyagé dans 51 pays au cours des cinq dernières années, j'ai appris deux choses : chaque personne a une définition différente du bonheur, mais ce qui mène au bonheur est universel. Lorsque nous mesurons le bonheur, nous permettons aux personnes d'utiliser leurs propres définitions. Tout comme avec la douleur dans un hôpital, il n'existe pas de dolorimètre auquel nous pouvons vous brancher. Il en va de même pour le bonheur. Votre sentiment d'être heureux est directement lié au bonheur que vous ressentez Mais ce qui crée le bonheur est universel. L'accompagnement social et les connexions sont les plus grands indicateurs prévisionnels du bonheur à long terme. Pendant mes recherches, j'ai découvert qu'il y a une corrélation de 0,7 entre le bonheur et l'accompagnement social (ce qui est incroyablement élevé) ; c'est plus que la corrélation qui existe entre le tabagisme et le cancer ! Le bonheur, au niveau universel, est un choix basé sur la manière dont nous percevons la réalité dans laquelle nous nous trouvons. C'est pour cela que certaines personnes peuvent être heureuses, même en vivant dans la pauvreté, et que certaines personnes riches sont malheureuses. Les États-Unis ont parfaitement compris que nous devons rechercher le bonheur plutôt que la simple réussite, mais les États-Unis ont un long chemin à parcourir pour atteindre le bonheur de certains pays moins développés économiquement qui réalisent que des liens sociaux solides, l'exercice physique, profiter de la nature et ne pas jouer le jeu du matérialisme, sont essentiels au bonheur. J'ai l'espoir que, pour les écoles et les entreprises, nous cessions d'utiliser la formule « si tu réussis, tu seras heureux », car cette formule ne fonctionne pas. Nous devons plutôt réaliser que le bonheur favorise la réussite d'une nation et celle des individus. [inlinetweet]« Chacun a une définition différente du #bonheur, mais ce qui crée le bonheur est universel » via @shawnachor @wrike[/inlinetweet] 3. Quels sont les obstacles qui empêchent les personnes d'expérimenter le bonheur ? L'obstacle le plus important réside dans le fait que la plupart des personnes pensent qu'elles ne peuvent pas changer. La majorité de la population pense que l'on nait optimiste ou pessimiste, et que l'on ne peut pas changer. Cette conception a 20 ans de retard sur la science réelle. Nous savons désormais que, certes, les gènes semblent prédire des niveaux de bonheur, d'intelligence et de réussite en moyenne, mais que cela est dû au fait que la personne moyenne ne va pas à l’encontre de son héritage génétique. Nous nous libérons rarement de nos gènes en créant des habitudes volontaires conçues pour exercer notre cerveau à agir différemment. Si vous analysez cette même recherche qui « prouve » que les gènes ont leur importance, vous remarquerez toute une série d’observations prouvant que les gènes ne doivent pas avoir le dernier mot. C'est la recherche que nous devons partager avec le monde entier. Nous pouvons échapper à l'emprise que nos gènes et notre environnement exercent sur notre bonheur. Le bonheur peut être un choix. 4. Quels sont les 3 conseils que vous donneriez à quelqu'un qui lutte pour trouver le bonheur à long terme ? 1. Exprimez votre gratitude chaque jour lorsque vous vous brossez les dents. Des chercheurs ont découvert que le fait de trouver trois nouvelles choses pour lesquelles vous êtes reconnaissant chaque jour permet de faire évoluer considérablement les personnes sur l'échelle de l'optimisme. 2. Écrivez chaque jour une note ou un e-mail positif pour complimenter ou remercier quelqu'un. Si vous rédigez cette petite note, même pendant moins de deux minutes, cette routine quotidienne est reconnue pour augmenter considérablement votre score de lien social. Des chercheurs ont découvert que le lien social permet de prédire votre durée de vie, tout autant que l'obésité et le tabagisme. 3. 15 minutes de cardio par jour ou trois fois par semaine pendant 30 minutes équivaut à prendre un antidépresseur. [inlinetweet]« 15 min. de cardio par jour ou 3 x par semaine pendant 30 min. équivaut à prendre un antidépresseur » via @shawnachor @wrike [/inlinetweet] 5. Si le bonheur conduit à la réussite (et non l'inverse), comment pouvons-nous agir sur le lieu de travail pour améliorer le bonheur général des employés ? Le résumé de mon article paru dans la revue Harvard Business Review est le suivant : le meilleur avantage concurrentiel dans l'économie moderne est un cerveau positif et engagé. Le cerveau humain positif dispose d’un avantage déloyal sur ce même cerveau négatif ou neutre. Lorsque nous positivons, nous obtenons 31 % d'augmentation de la productivité, 40 % de probabilité d'obtenir une promotion, 23 % de symptômes liés au stress en moins, 37 % de ventes en plus, et la liste est encore longue. Dans mon livre « Before Happiness » (Avant le bonheur), je décris la recherche du point X qui montre que nous accélérons pour parvenir à un objectif dès que nous nous rapprochons de la réussite. Pour prendre l'exemple d'une entreprise, pensez à un café qui offre une carte vous permettant d'avoir un café gratuit dès que vous avez acheté 10 cafés. Cette stratégie fonctionne bien mieux si vous aidez le client à sentir qu'il a fait de grands progrès. Vous devrez par exemple acheter 12 cafés, mais vous recevez deux timbres gratuits. Dans le premier cas, vous démarrez à 0 % de votre objectif. Dans le second cas, vous avez déjà atteint 18 %. Ainsi, lorsque vous définissez des objectifs de ventes, des objectifs de produits, ou même lorsque vous faites des listes de contrôle, veillez à toujours indiquer la progression. Chaque élément de progression perçue agit comme un accélérateur de réussite pour le cerveau. Le point sensible dans un marathon se situe dans le dernier kilomètre de la course. C'est là que se trouvent les équipes médicales, car votre corps reçoit une dose si importante d'accélérateurs neurochimiques que certaines personnes ne peuvent pas les assimiler. Bien entendu, nous ne voulons pas que les personnes aient une crise cardiaque, mais cela montre le pouvoir de la réussite perçue. Au travail, nous pouvons utiliser certains de ces accélérateurs pour propulser la croissance. Le bonheur est un choix, mais les dirigeants et les entreprises peuvent faciliter ce choix en offrant une formation sur la manière d'élever la positivité dans l'environnement de travail, en créant des engagements sociaux, et en félicitant les individus de manière sincère. Mon travail consiste à utiliser la science pour convaincre les entreprises que le meilleur avantage concurrentiel dans l'économie moderne est une population active positive et engagée. Ceux qui font ce constat s'attachent à contribuer à cultiver des environnements de travail positifs, ce qui fait du bonheur un avantage. [inlinetweet]« Le meilleur avantage concurrentiel dans l'économie moderne est une population active positive et engagée » via @shawnachor @wrike[/inlinetweet] 6. Quelle est la nouvelle tendance importante qui, selon vous, n'est pas suffisamment prise en compte ? Les gènes et l'environnement définiront votre bonheur, sauf si vous modifiez consciemment votre état d'esprit et vos habitudes. Si vous choisissez la dernière solution, votre bonheur ne restera plus sous l'emprise de vos gènes, de votre enfance et de votre environnement. Le bonheur n'est pas la croyance que nous n'avons pas besoin de changer, c'est la croyance que nous pouvons le faire. Comment aidez-vous à stimuler la positivité dans l'espace de travail ? Partagez vos expériences et vos idées dans les commentaires. Bio : Après avoir passé douze années à l'Université de Harvard, Shawn Achor est devenu l'un des principaux spécialistes mondiaux de la connexion entre le bonheur et la réussite. Son étude sur le bonheur a fait la couverture de la revue Harvard Business Review, sa conférence sur TED est l'une des plus célèbres de tous les temps avec plus de 8 millions de vues, et sa conférence diffusée sur PBS a été vue par des millions de personnes. Shawn a travaillé avec plus d'un tiers des entreprises du classement Fortune 100, et a donné des conférences dans plus de 50 pays, en s'adressant aux PDG en Chine, aux dirigeants au Pentagone, à des écoliers en Afrique du Sud et à des agriculteurs au Zimbabwe. Sa formation Happiness Advantage (L'avantage d'être heureux) est à ce jour le programme de formation d'entreprise sur la psychologie positive le plus important et le plus performant dans le monde. Shawn est l'auteur de plusieurs livres à succès publiés par le New York Times : The Happiness Advantage (L'avantage d'être heureux) (2010) et Before Happiness (Avant le bonheur) (2013), ainsi que Ripple’s Effect (L'effet domino) et The Orange Frog (La grenouille orange). L'an dernier, Shawn a été publié dans une revue de psychologie de renom pour son travail réalisé à l'UBS en partenariat avec l'Université de Yale, visant à créer une formation plus efficace sur le stress, et il a récemment donné une interview de deux heures à Oprah pour discuter de la recherche du bonheur et de la perception de la réussite.  

5 solutions aux principales difficultés du travail sur appareil mobile
Productivité 5 min. lus

5 solutions aux principales difficultés du travail sur appareil mobile

Les répondants à notre sondage récent concernant le travail sur appareil mobile ont identifié leurs principaux facteurs de stress sur ces devices.

Transfo digitale : les marketers français à la traine en automatisation
Actualités Wrike 5 min. lus

Transfo digitale : les marketers français à la traine en automatisation

Les marketeurs français s’estiment particulièrement productifs dans leur travail quotidien, plus que la moyenne des autres salariés. Mais sont-ils réellement adeptes des nouvelles solutions de productivité ?

Constance et créativité sont-elles incompatibles ?
Productivité 10 min. lus

Constance et créativité sont-elles incompatibles ?

Connaissez-vous cette sensation lorsque la créativité vous envahie ? Vous vous sentez inspiré et passionné, vos mains produisent spontanément et sans effort un travail d'excellente qualité. Mais il y a des chances que vous connaissiez également la sensation opposée. Lorsque vous vous sentez totalement bloqué. Le flux de créativité s'est tari, et vous n'avez pas un soupçon d'inspiration auquel vous raccrocher. La créativité est difficile à définir. Lorsque les choses vont bien, les résultats sont excellents. Mais lorsqu'elles vont mal, cela peut être très douloureux. Ce ne serait pas un problème si nous avions la flexibilité d'accomplir notre travail de création lorsque nous nous sentons inspirés. Mais peu d'entre nous ont cette chance. Lorsque votre travail consiste à produire des idées créatives jour après jour, vous devez trouver un moyen de créer, que vous vous sentiez inspiré ou totalement indifférent. En fait, la créativité est si importante que 60 % des dirigeants la citent comme la qualité primordiale du leadership. Et à la question sur la compétence qu'ils valorisent le plus dans leurs équipes, un grand nombre d'entre eux répond (vous l'aurez deviné), la créativité.   Ceci dit, 75 % des gens pense qu'ils n'exploitent pas le maximum de leur potentiel de créativité. La créativité, c'est important. Mais ce n'est pas facile, notamment lorsque l'on vous demande de faire preuve d'une grande créativité jour après jour. Est-ce seulement possible de fournir un niveau de créativité constant, tout en produisant de grands volumes ? Si oui, comment ? Voici notre réponse. Qu'est-ce que la production créative exactement ? « La production créative est l'indicateur de rendement clé d'une société de création », explique Kate Sullivan, psychologue des facteurs humains et directrice des contenus à TCK Publishing. « Cela peut consister en des mots écrits, des designs créés, des pages conçues, des codes écrits, des couvertures dessinées ou tout autre indicateur mesurant la quantité de travail créatif qu'un concepteur, auteur, éditeur, ou toute autre créatif a fourni sur une certaine période de temps. » En d'autres termes, la production créative est le résultat de votre processus de création. Julie Burstein, dans sa conférence instructive ci-dessous (durée : 17:12), aborde la façon dont le processus de création représente la tension entre les éléments que vous contrôlez, et ceux que vous devez apprendre à laisser aller :     Est-ce que la créativité peut se manifester de manière constante ? Produire quelque chose de créatif semble assez simple à première vue. Cependant, comme vous le dira n'importe quel créa, ce n'est pas toujours aussi simple. En fait, fournir une créativité constante semble être un exploit impossible. Ce qui amène à la question suivante : est-ce seulement possible ? Peut-on atteindre un certain niveau de constance dans son travail de création ? Oui, dans la limite du raisonnable. « La quantité pour la quantité n'apporte pas forcément la qualité, mais on ne saurait trop insister sur les bénéfices de la « pratique » régulière de son talent », confie Michele Jennae, coach en créativité holistique à Rise Up Creativity. Mais, comme pour toute chose, il faut pouvoir parvenir à un équilibre délicat. « La production continue de larges volumes de travaux créatifs peut saper votre capacité à produire des idées fraiches et novatrices », explique Sullivan. « Vous devenez une « chaîne de montage » de la création lorsque vous produisez régulièrement, par exemple, des articles de blog de 3 000 mots sept jours par semaine ou que vous dessinez six logos par jour. » D'un autre côté, Sullivan affirme qu'une utilisation régulière de vos muscles de la création peut aider à les développer. « Vous commencez à savoir ce qui fonctionne pour vous, vous améliorez votre technique, et vous acquérez les compétences nécessaires pour simplifier vos processus. Par exemple, au lieu de lutter sur la mise en page, vous commencez à développer une bibliothèque mentale de ce que vous pouvez appliquer et qui fonctionnera pour un travail donné », ajoute-t-elle. La clé ici est de faire des essais et des erreurs afin d'obtenir une quantité raisonnable de productions pour vous-même (assez pour aiguiser vos compétences, mais sans arriver à saturation). « Définir la quantité dite excessive pour vous est quelque chose de très personnel », ajoute Sullivan. Comment favoriser une meilleure créativité Dans cette optique, comment pouvez-vous entrainer votre cerveau et adapter votre environnement pour favoriser la réussite de vos travaux de création ? Voici les conseils des experts : 1. Créez un programme Le mot « programme » peut être synonyme de torture pour de nombreux créateurs. Mais soyez rassuré, cela peut en réalité se révéler être d'une grande utilité à la fois pour vos niveaux de productivité, et de créativité. « La programmation, loin d'être une restriction, est en fait la meilleure amie du créateur », explique Sullivan. « En programmant votre journée pour y inclure les sprints, les pauses et les groupes de tâches, vous vous préparez au succès. Si vous planifiez votre travail selon les moments de la journée où vous êtes le plus actif et le plus créatif, avec ensuite des pauses et du temps pour recharger vos batteries créative, vous pouvez être beaucoup plus productif, et ce sans sacrifier la qualité de vos créations. » La magie de la programmation vient de la théorie de l'épuisement de l'égo, qui établit que nous possédons tous une quantité limitée de ressources mentales telles que la créativité et la force de volonté. (Il doit être noté, cependant, que cette théorie a été remise en question.) Controversée ou non, cette théorie peut vous être utile. « En vous permettant trop de flexibilité, vous investissez votre énergie dans des choses qui n'en valent pas la peine, comme par exemple travailler sur le projet X ou décider quoi manger au déjeuner », affirme Sullivan. « Si vous programmez votre temps, vous supprimez certaines décisions insignifiantes qui consomment vos ressources mentales, et vous avez ainsi plus d'énergie à investir dans la production créative. » Programmer n'implique pas nécessairement de se fixer une routine. Vous pouvez programmer chaque jour de manière différente, si cela vous convient mieux. Cependant, une routine solide peut présenter des avantages aussi. « En transformant vos moments créatifs en habitude, vous vous préparez à vous investir pleinement dans votre travail », explique Sullivan. « Votre cerveau est programmé pour se mettre en mode création à ce moment précis de la journée, donc vous passez moins de temps à fixer une page blanche. » ASTUCE : pour trouver vos heures les plus créatives, basez-vous sur ce que vous savez. Les gens qui se lèvent tôt considèrent le matin comme leur moment le plus productif, tandis ceux qui sont du soir travaillent bien jusqu'à tard. Cependant, les études montrent que le contraire pourrait être vrai. Donc, si vous n'êtes pas du matin, essayez de produire du travail créatif durant la matinée. Vous pourriez être surpris ! En savoir plus dans cette infographie. 2. Soyez créatif avec la créativité « Les variations de thème, de routine ou de décor sont d'excellents moyens de lutter contre la monotonie », indique Jennae. Donc, lorsque vous vous sentez vide d'inspiration créative, c'est peut-être le moment de devenir créatif grâce à votre propre créativité pour pouvoir continuer à produire de gros volumes. Pouvez-vous changer de technique ? Essayer un logiciel différent ? Aborder le projet dans un autre ordre pour mettre au défi les différentes parties de votre cerveau ? « Simplement, faites tout ce que vous pouvez pour secouer votre routine tout en faisant votre travail », explique Sullivan. « Cela vous forcera à penser de façon différente et rendra votre travail stimulant, plutôt que monotone. » ASTUCE : lorsque vous doutez, changer de décor ne peut pas vous faire mal. Si vous souhaitez partir loin (et que vous pouvez vous le permettre), les études montrent que les voyages internationaux améliorent la neuroplasticité, engendrant ainsi une plus grande flexibilité cognitive. Mais si vous préférez éviter l'aéroport, vous aventurer dans un café ou un autre coin du bureau pour travailler peut vous aider à stimuler les synapses dans votre cerveau.   3. Résistez à la perfection « La quantité peut améliorer la qualité, c'est un fait », affirme Jennae. « Malheureusement, de nombreux créateurs sont concentrés sur la perfection, et cela peut limiter leur productivité. Mais ce sont les erreurs faites sur la quantité qui nous apportent les perspectives et les améliorations nécessaires à la qualité. » Même si vous pensez que chaque chose que vous créez doit être impeccable, il est bien plus utile de commencer à produire (vous pourrez toujours revenir sur votre travail pour le modifier). « De plus, beaucoup de nos « erreurs » sont recyclables avec la révision », ajoute Jennae. « Peut importe le nombre d'heures, les minutes s'écoulent toujours une par une ! » 4. Ne vous forcez pas à l'excès Lorsque vous vous sentez sous pression pour produire de larges volumes de travail créatif, vous pouvez être amenés à produire des efforts intenses. Vous vous forcez à rester assis à votre bureau à vous creuser la tête, peu importe si vous êtes épuisé. Même si la quantité peut être utile pour affiner vos capacités, vous échiner peut réellement vous être néfaste. « Trop vous efforcer pour produire un volume excessif de création vous mènera certainement à une baisse de qualité », explique Sullivan. « La force de volonté, la créativité, l'imagination et l'énergie mentale sont un peu comme une réserve dans laquelle nous puisons pendant la journée ; elle doit être rechargée par du repos et de la détente. » En effet, faire des pauses est un excellent moyen de vous redonner le tonus dont vous avez tant besoin. « Même si cela peut paraître contradictoire, quitter votre lieu de travail peut vous donner de nouvelles idées et perspectives. Vous pouvez alors revenir et mettre à l'œuvre votre inspiration », affirme Jennae. ASTUCE : l'étude One Stanford a démontré que la marche peut réellement booster votre créativité. Alors, si vous cherchez quoi faire lors d'une pause, aventurez-vous à une promenade dans l'après-midi. C'est bon pour le corps et pour l'esprit ! À vous de jouer La créativité constante peut sembler être un oxymore. Mais, croyez-le ou non, vous pouvez y parvenir si vous vous y prenez de la bonne manière : Établissez le programme qui fonctionne pour vous Changez de routine Résistez à l'envie irrépressible de perfection à tous les coups Prenez suffisamment de temps pour vous recharger Vous sentirez-vous toujours pleinement inspiré et prêt à plancher sur votre prochaine idée brillante ? Peut-être pas. Mais ces conseils vous aideront au moins à produire un travail créatif de façon constante, sans rester bloqué sur une page blanche. Biographie de l'auteure : Kat Boogaard (@kat_boogaard) est une auteure basée dans le Midwest, qui aborde des sujets en lien avec la carrière, le développement personnel et la vie de travailleur indépendant. Elle est chroniqueuse pour Inc., écrit pour The Muse, contribue à The Everygirl ainsi qu’à de nombreuses publications sur le Web.

5 façons d'améliorer la qualité de vos visioconférences
Collaboration 10 min. lus

5 façons d'améliorer la qualité de vos visioconférences

Dans le monde du travail aujourd'hui, il y a de fortes chances que vous soyez convié régulièrement à des réunions virtuelles. Vous vous mettez alors en quête d'une pièce (idéalement calme), avec une connexion internet correcte, et vous démarrez le logiciel de réunions en ligne. Puis, une fois connecté, vous constatez que la moitié des participants est absente, que le micro de l'intervenant principal ne fonctionne pas bien et que ce bruit de sifflement vous tape sur les nerf ! Soyons réalistes : les réunions en ligne sont rarement une partie de plaisir. Les gens sont distraits, personne ne veut activer la vidéo et les présentations sont toujours plus longues que d'ordinaire. Selon un sondage concernant les réunions virtuelles que nous avons mené au début de l'année, seulement 30 % des participants estiment que la plupart de leurs réunions en ligne (80-100 %) sont productives. Mais avec l'augmentation du nombre d'équipes travaillant à distance, et les trajets domicile-travail de plus en plus longs, les réunions virtuelles ne sont pas prêtes de disparaître. Si vous souffrez de cette augmentation de la collaboration à distance, une petite piqûre de rappel en matière d'organisation de réunions en ligne vous fera le plus grand bien ; ainsi répondre à une demande de réunion virtuelle ne sera plus un supplice pour votre équipe. Réunions virtuelles ou réunions en face-à-face ? Il n'y a aucun doute là-dessus : les réunions en face-à-face sont, de loin, les plus efficaces ; 68 % des répondant déclarent d'ailleurs qu'ils préfèrent les réunions en personne aux réunions virtuelles. Cependant, il est important de savoir déterminer les situations dans lesquelles il est approprié de programmer une réunion virtuelle, plutôt qu'une réunion en face à face. Si les réunions en face à face vous permettent d'avoir toute l'attention des participants et d'observer leur langage non verbal, celles-ci conviennent particulièrement pour se réunir avec des clients ou prospects, et pour les entretiens d'embauche. Toutefois, lorsque les équipes sont à distance et que vous n'avez pas la possibilité d'organiser des réunions en personne, les réunions en ligne sont une bonne alternative, notamment lorsque vous devez prendre des décisions importantes et faire avancer les choses. Voici quelques conseils pour organiser des réunions en ligne efficaces, et les astuces de nos experts pour organiser des réunions plus productives et stimulantes. Bonnes pratiques en matière de réunions en ligne 1. Présentez-vous Cela peut paraître évident, mais beaucoup de personnes oublient que les participants aux réunions virtuelles parfois ne se connaissent pas. C'est un réflexe à adopter, surtout avec des équipes à distance : commencer une réunion en ligne par un tour de table, en demandant aux participants de se présenter et d'expliquer ce qu'ils font (et non pas uniquement ce sur quoi ils travaillent). Une fois les présentations faites, soyez positif et demandez aux participants de partager, chacun leur tour, une réussite ou une expérience positive qui leur est arrivée depuis la dernière réunion. Il peut s'agir du lancement d'une grande campagne, d'une réunion avec un client potentiel ou tout simplement de la réalisation d'une tâche. Vous vous rendrez compte que la plupart des réussites d'une société ne sont pas le fruit d'une seule personne. Partager ces batailles peut contribuer à motiver le personnel d'une manière générale, et permet de commencer votre réunion du bon pied.   2. Surveillez vos manières Lorsque des décalages horaires rentrent en compte, les réunions en ligne peuvent parfois avoir lieu au petit matin ou tard le soir. Pendant ces horaires, les règles de bienséance peuvent parfois passer aux oubliettes, et l'espoir d'une réunion productive peut s'évanouir, peu importe la quantité de café que vous aurez ingérée. Si vous veillez à respecter des règles de conduite appropriées, vous serez plus impliqué et attentif et vous ferez preuve de respect et de considération envers les participants. Vous incitez ainsi les autres à vous rendre la pareille lorsque c'est à vous de parler. Voici quelques bonnes manières à adopter : Habillez-vous convenablement Arrivez à l'heure ou en avance Fermez tous les onglets ou navigateurs non pertinents Ne consultez pas votre téléphone ni votre e-mail Désactivez votre micro lorsque les autres se présentent Évitez toute conversation en aparté Gardez vos questions pour la fin de la présentation Remerciez tout le monde de leur temps 3. Impliquez les participants C'est tellement facile de se connecter, d'éteindre la vidéo et de décrocher lors d'un réunion virtuelle (dans cet ordre). Mais si vous éteignez votre vidéo, vous avez plus de chances de vous distraire et de commencer à faire autre chose en même temps ; ce qui n'est pas dans votre intérêt. Même les jours les plus chargés, pratiquer le multitâche lors d'une réunion en ligne ne vous apporte rien de bon. Vous êtes non seulement moins attentif à la réunion, mais cela vous prend presque deux fois plus de temps pour accomplir les tâches que si vous les gériez séparément. Du coup personne n'y gagne. Activer la vidéo favorise votre attention. Vu que tout le monde se regarde, les participants sont dissuadés de consulter leur téléphone ou d'écrire un mail. Donna Dennis, présidente de Leadership Solutions Consulting, fondatrice et coordinatrice du séminaire de trois jours de l'American Management Association sur la gestion d'équipes à distance conseille de faire un tour de table pour que chacun explique son rôle lors de la réunion, avant de lancer la discussion. « Tout ce que vous pourrez emprunter aux rencontres en face à face sera bénéfique », affirme-t-elle. Encouragez la résolution de problèmes et l'opposition des idées. Écouter présentation après présentation peut freiner la pensée et le partage d'idées et possiblement mener à la pensée de groupe. Encouragez les gens à poser leurs questions et à partager leurs idées (même les plus farfelues) et soyez prêt à discuter ouvertement sur des décisions importantes; les jugements doivent rester aux vestiaires. [caption id="attachment_417282" align="aligncenter" width="893"] 4. Restez concentré sur les objectifs Plus le nombre de participants est élevé, plus il y a de risques de s'éloigner de l'ordre du jour et de compromettre la réunion. Celle-ci s'éternise, les participants s'en désintéressent et aucun des objectifs de la réunion n'est atteint. Comment donc éviter de passer d'un sujet à l'autre et comment rester concentré ? Roger Schwarz, auteur de Smart Leaders, Smarter Teams: How You and Your Team Get Unstuck to Get Results a écrit un article pour la Harvard Business Review portant sur les façons d'éviter de se disperser lors des réunions : Validez l'ordre du jour avant la réunion. Demandez aux gens de se mettre d'accord sur les thèmes et les objectifs de la réunion au préalable. Assurez-vous d'avoir traité l'intégralité du sujet avant de passer au suivant. Au lieu de dire « Bien, passons à autre chose », dites plutôt quelque chose comme « Je crois que nous avons abordé tous les aspects du point A. Tout le monde est d'accord pour passer au point B ? » Vérifiez l'hypothèse selon laquelle la réunion est en train de dévier. Si quelqu'un aborde un sujet qui n'a rien à voir avec la réunion, interrogez-la sur le rapport avec l'ordre du jour en lui demandant par exemple « Mike, je ne saisis pas le lien entre ce sujet et le sujet B? Pouvez-vous nous expliquer en quoi ils sont liés ? » Une fois que vous avez traité tous les objectifs de la réunion, mettez fin à celle-ci ! Ne vous sentez pas obligé d'utiliser la totalité de l'heure que vous avez bloquée sur le calendrier. Félicitez-vous d'avoir bien travaillé et terminez votre réunion plus tôt pour que tout le monde puisse profiter d'un moment pour prendre un café et échanger sur certaines tâches.   5. Passez en revue les étapes suivantes Il est important de rappeler que lors d'une réunion en ligne, vous devez tracer la voie pour l'avenir. Pour qu'une réunion soit productive, elle doit se tourner par une projection, et non un regard en arrière. Lors d'une réunion en personne, vous pouvez clôturer avec un discours percutant et motivant et retenir l'attention de tout le monde pendant les minutes restantes. Il est cependant plus difficile de transmettre le même message en ligne. À l'issue de la réunion, la plupart des participants n'attendent qu'une chose : appuyer sur le bouton « terminer la réunion ». Au lieu de finir avec un discours émouvant ou de poser la question ambiguë « Y a-t-il autre chose que nous n'avons pas traité ? » essayez plutôt de conclure en rappelant les réussites et en expliquant ce qui va se passer ensuite. Résumez les décisions importantes et assurez-vous auprès des personnes responsables de tâches que celles-ci sont leur préoccupation première. Convenez de dates d'échéance et officialisez-les en créant et en assignant des tâches dans votre outil de gestion du travail. Gardez les discours pour les réunions en personne. Si vous terminez vos réunions en ligne en mettant tout le monde d'accord sur les étapes à venir, vos réunions seront plus productives et efficaces. C'est à vous ! C'est le moment de mettre en pratique ce que vous avez appris. Même si les réunions en personne sont idéales, il existe des moyens d'améliorer vos réunions en ligne pour qu'elles soient tout aussi productives. Quelques points essentiels à retenir : 1. Prenez l'habitude de vous présenter et de partager les réussites 2. Habillez-vous convenablement et faites preuve de respect envers les intervenants 3. Posez des questions stimulantes et évitez le multitâche 4. Restez concentrez sur les objectifs et réorientez ceux qui s'en écartent 5. Prenez l'habitude de passer en revue les éléments d'action Vous organisez une réunion en ligne prochainement ? Obtenir une checklist gratuite sur l'organisation des réunions en ligne afin que vous puissiez vous concentrer sur le contenu plutôt que sur la logistique.

Feuilles de temps dans Wrike Resource : suivez simplement le temps passé par tâche
Actualités Wrike 3 min. lus

Feuilles de temps dans Wrike Resource : suivez simplement le temps passé par tâche

Nous présentons aujourd'hui les feuilles de temps, une amélioration de Wrike Resource visant à renforcer la flexibilité, la transparence et la facilité d'utilisation. Les feuilles de temps offrent un moyen simple de suivre le temps passé sur les tâches.

L'art délicat du « Inbox Zero » et comment les notifications nous polluent le cerveau
Productivité 10 min. lus

L'art délicat du « Inbox Zero » et comment les notifications nous polluent le cerveau

Qu'est-ce que l'Inbox Zero ? Devrions-nous tenter d'y parvenir ? En savoir plus sur la philosophie Inbox Zero et comment garder la maîtrise de ses notifications avec Wrike.

Multitâche : pourquoi vous jonglez entre plusieurs tâches
Productivité 10 min. lus

Multitâche : pourquoi vous jonglez entre plusieurs tâches

Je l'avoue : au cours de la rédaction de cet article, j'ai consulté Facebook, HipChat, Skype et Reddit. Et Instagram à deux reprises. Je suis passé à deux autres tâches et j'ai envoyé quatre e-mails. Non, l'ironie de la situation ne m'aura pas échappé. Les motifs de distraction sont omniprésents, et il peut nous sembler impossible de les refouler. Nous sommes envahis par un afflux incessant de nouveaux e-mails, accompagné de multiples questions et de demandes émanant des collègues de travail. Nous passons d'une activité à l'autre sur nos listes de tâches et répondons aux notifications pour tenter de concilier toutes nos responsabilités simultanément, en nous disant que nous sommes plus efficaces en faisant deux choses (ou plus) à la fois. Nous sommes nombreux à savoir que rester concentré sur une tâche à la fois permet d'obtenir de bien meilleurs résultats, et pourtant nous effectuons systématiquement plusieurs tâches en même temps pour essayer de rayer les éléments de nos longues listes deux fois plus rapidement. Pourquoi le multitâche est-il si attirant ? Et que pouvons-nous faire pour transformer notre tendance à céder aux distractions en productivité plutôt qu'en pure perte de temps ? Faisons comme Miss Frizzle et effectuons une petite plongée dans le cerveau pour comprendre comment fonctionne l'attention, ce qui se passe lorsque nous nous essayons au multitâche, et ce que nous pouvons faire pour tourner à notre avantage notre envie d'en faire trop. Neuroscience 101 : voici votre cerveau lorsque vous faites du multitâche S'essayer au multitâche, modifie le mode de fonctionnement de votre cerveau. Lorsque vous concentrez votre attention sur quelque chose, cela active une partie du système motivationnel de votre esprit : le cortex préfrontal, qui enveloppe l'avant de votre cerveau. Lorsque vous êtes concentré, le côté gauche comme le coté droit du cortex préfrontal travaillent en tandem. Mais lorsque vous pratiquez le multitâche, ils essaient de travailler chacun de leur côté. Vous avez peut-être l'impression de faire deux choses simultanément, mais en réalité vous passez d'un côté de votre cortex préfrontal à l'autre. Cette bascule prend une fraction de seconde, mais toutes ces microsecondes s'accumulent : en réalité cela vous prend jusqu'à 40 % plus longtemps pour effectuer les mêmes tâches que si vous les meniez à bien séparément. Sans oublier que le passage d'une tâche à l'autre exige énormément de ressources cognitives, ce qui vous expose davantage aux erreurs. Votre mémoire de travail, chargée du raisonnement, de la prise de décision et du processus d'apprentissage, dispose d'une capacité limitée. Elle se comporte comme un muscle qui ne pourrait soulever qu'un certain poids et effectuer un nombre limité de répétitions avant d'avoir besoin de se reposer et de récupérer. Les tâches complexes ont une charge cognitive plus élevée, et sollicitent davantage votre mémoire de travail. Essayer d'effectuer simultanément plusieurs tâches complexes, c'est tout simplement trop en demander à notre cerveau, et cela augmente le risque d'erreurs. Lorsque vous ajoutez une troisième tâche (comme suivre les indications de votre GPS), vous faites trois fois plus d'erreurs que lorsque vous faites deux choses en même temps. Vous ne pouvez faire plusieurs choses à la fois que lorsque la charge cognitive de chaque tâche séparée est faible ; par exemple, partir marcher tout en grignotant quelque chose et en écoutant votre podcast favori. Le système anti-distraction de votre cerveau Rester concentré ne nécessite pas seulement de canaliser vos capacités mentales vers un objectif unique, cela impose également de rester indifférent à tous les autres stimuli qui essaient de vous en distraire. Après tout, si vous n'êtes pas capable de filtrer ce qui est sans rapport avec la tâche qui vous occupe, toutes ces distractions vont vous ralentir. Lorsque vous êtes concentré, votre cerveau fonctionne différemment, même au niveau neural. Les messages que vos neurones envoient les uns aux autres sont plus intenses et plus clairs lorsque vous êtes concentré, comme s'ils se trouvaient dans une pièce bruyante et qu'ils essayaient de se crier un message unique et simple les uns aux autres. Parallèlement à une communication plus vigoureuse de vos neurones, des parties essentielles de votre cerveau se synchronisent entre elles. Des lignes de communication s'ouvrent entre les différentes zones du cerveau requises pour l'attention, et les signaux sans rapport sont supprimés afin d'empêcher les distractions de franchir ces zones. Le multitâche vous grille le cerveau Vous pensez peut-être que le fait de rester concentré et de bloquer les distractions implique un travail plus intensif de votre cerveau, mais en réalité c'est l'opposé. Le fait de passer d'une tâche à l'autre entraîne un besoin supplémentaire de votre cerveau en glucose, ce qui vous donne une sensation d'épuisement et de désorientation, même à l'issue d'une petite dose de multitâche. Par ailleurs, de récentes études ont démontré que le multitâche exerçait un impact physique, éventuellement définitif sur la structure cérébrale. Les personnes fortement investies dans le multitâche appliqué aux médias ont une densité de matière grise inférieure dans le cortex cingulaire antérieur, ce qui les aide à réguler deux fonctions corporelles automatiques comme la pression sanguine et le rythme cardiaque, ainsi que les fonctions cognitives rationnelles comme la prise de décision, l'empathie, le contrôle des impulsions et le contrôle des émotions. Le multitâche entraîne le stockage de nouvelles informations dans les mauvaises régions du cerveau. Il nuit à votre mémoire à court-terme. Le simple fait de savoir qu'il y a un e-mail non lu dans votre boîte électronique est susceptible d'abaisser votre QI professionnel de 10 à 15 points, ce qui vous transforme littéralement en un enfant de 8 ans en termes cognitifs. Non seulement le multitâche est mauvais pour votre cerveau, mais il est également néfaste pour votre corps. Il augmente les hormones de stress que sont le cortisol et l'adrénaline, pouvant entraîner un rétrécissement des artères, une augmentation de la glycémie et une déficience du système immunitaire, pour ne citer que quelques-uns des problèmes de santé possibles. Au vu de tous ces inconvénients préoccupants, pourquoi consacrons-nous toujours autant de temps au multitâche ? La poussée d'hormones liée aux distractions nous met en transe Même si vous avez besoin qu'il vous tienne concentré, votre cortex préfrontal a constamment besoin de nouveauté. Les nouveaux stimuli entraînent un afflux d'opioïdes endogènes dans les zones en quête de satisfaction du cerveau. Cela fait du bien de céder aux distractions. Non seulement il devient alors incroyablement difficile de se concentrer sur une seule tâche complexe, mais vous devenez plus enclin à effectuer une douzaine de tâches plus simples et plus anodines, comme répondre à des e-mails ou passer des appels téléphoniques, plutôt que de vous attaquer à des projets plus volumineux et significatifs. À chaque fois que vous répondez à un e-mail, publiez un Tweet ou envoyez un message instantané, vous recevez une poussée d'hormones directement dans le centre du plaisir du cerveau, et cela peut devenir extrêmement addictif. En fait, des recherches effectuées en laboratoire ont révélé que les rats capables d'appuyer sur une tige déclenchant une impulsion électrique directement dans cette zone de plaisir étaient tellement absorbés à pousser le levier qu'ils en oubliaient de s'alimenter et de dormir, au point de mourir de faim. Ceci donne une indication de la puissance de cette dépendance. Les exceptions à la règle interdisant de pratiquer le multitâche Malgré toutes ces raisons incontestables incitant à éviter le multitâche à tout prix, il existe quelques situations pour lesquelles il est bénéfique de savoir jongler entre les tâches. En voici un exemple : l'exercice. L'activité physique stimule la circulation sanguine vers votre cerveau, lui apportant l'oxygène et les autres nutriments nécessaires à une performance mentale optimisée. Elle produit également des substances chimiques capables d'améliorer la mémoire, les capacités de résolution des problèmes et de prise de décision, tout en libérant des hormones qui augmentent l'attention, la motivation et la concentration. Dans une étude récente menée par l'Université de Floride, les participants pédalant sur des vélos stationnaires devaient effectuer une série de tâches de difficulté variable. Il a été observé que les tâches faciles entraînaient un rythme de pédalage plus rapide, sans porter préjudice à leur capacité cognitive. Leurs cerveaux et leurs corps travaillaient efficacement sur des tâches simultanées. À mesure que la difficulté des tâches augmentait, leur vitesse de pédalage ralentissait, mais même le travail mental le plus difficile ne faisait que les ralentir à leur vitesse de pédalage d'origine. Les tâches pénibles qui représentent une charge cognitive faible constituent un autre cas dans lequel le multitâche peut améliorer votre performance. Laisser votre esprit vagabonder pendant que vous faites la vaisselle ou que vous pliez le linge encourage la résolution de problèmes créative et stimule la prise de décision efficace, en vous laissant imaginer les résultats de différents choix, ou trouver une toute autre alternative. Votre cerveau est plus performant dans la résolution de problèmes complexes lorsqu'il se détache de la situation et l'aborde sous un angle différent. (C'est pour cela que vous trouvez toujours vos meilleures idées lorsque vous êtes sous la douche ou en train de vous brosser les dents). Enfin, un nouveau type de multitâche est en train d'émerger, dans l'ère numérique de la surcharge d'informations. "L'attention partielle continue" consiste à écrémer mentalement plusieurs flux de données entrantes simultanément et à ne glaner que les détails pertinents dans chacun d'entre eux. Imaginez que vous êtes en train de travailler sur une tâche tout en écoutant de la musique, et que vous entendez soudain un certain mot dans une conversation en arrière plan, qui retient votre attention. Même si vous êtes essentiellement concentré sur une tâche particulière, une partie de votre cerveau est néanmoins attentive à cette conversation. Vous êtes simultanément conscient de plusieurs flux d'informations, les plaçant tous dans un recoin de votre esprit et portant votre attention sur celui qui vous semble le plus urgent ou intéressant. Avec la technologie moderne, nous sommes exposés à une quantité vertigineuse de données entrantes, et nous utilisons ce type de multitâche pour extraire rapidement des informations utiles d'une masse de ressources disponibles. Faire tomber le mythe du multitâche À la fin des années 90 et au début des années 2000, avec l'émergence des PDA et autres appareils de productivité personnelle, nous avons adopté le multitâche comme une façon de nous mettre au diapason du nouveau rythme des activités. Nous avons appris à mettre en valeur notre capacité à concilier de multiples tâches sur nos CV, en vantant le nombre de projets que nous étions capables de mener de front. Les adeptes du multitâche étaient vus comme des employés efficaces et très performants. Maintenant nous savons la vérité : le multitâche nuit à notre travail. Cela nous ralentit, nous expose à davantage d'erreurs, et nous épuise mentalement et physiquement. Mais nous connaissons également les quelques situations clés pour lesquelles le multitâche peut représenter de véritables avantages, afin que nous cédions à l'attirance de notre cerveau pour la distraction, sans sacrifier à la clarté mentale ni nuire à notre intellect.

Désintox digitale : 30 jours pour lutter contre la dépendance Tech
Productivité 10 min. lus

Désintox digitale : 30 jours pour lutter contre la dépendance Tech

Souvenez-vous de nos récents écrits sur le thème suivant : comment le fait d'analyser vos habitudes les plus ancrées et de vous débarrasser de futilités a un impact positif sur votre productivité, votre concentration et même sur votre créativité ? En effet, il est important de repenser ce que l'on fait en mode "pilotage automatique" pour éliminer le superflu et ne garder que ce qui est utile. Quel risque encourrez-vous autrement ? Celui de développer une addiction à la technologie comme celle d'Andrew Sullivan, le fondateur et auteur du blog politique The Dish (anciennement The Daily Dish). Il a récemment écrit un essai sur la façon dont son addiction aux actualités et aux informations en ligne l'a rendu malade. Durant la dernière année où il publiait pléthore d'articles dans la même journée, il lutta contre quatre infections des bronches. Sa blague sur le fait que "Internet tue" commençait à le toucher de trop près. Voici ce qu'il écrit : Je blaguais souvent sur le fait que si Internet tuait, je serais le premier à le savoir ! Des années plus tard, cela ne me fait plus vraiment rire. On s'habitue vite aux outils numériques que l'on utilise tous les jours et cela peut nous faire perdre pied. Même au travail. 44 % des professionnels disent consulter leurs appareils mobiles plus de 20 fois par jour ! C'est la raison pour laquelle nous devons revoir nos habitudes et analyser notre usage de ces produits. Est-ce qu'ils nous facilitent la vie ou est-ce qu'ils nuisent à nos capacités de concentration et d'action ? Les deux attitudes face aux outils numériques selon Newport Je vous entends dire : « Pourquoi donc devrais-je remettre en cause les outils et les applications que j'utilise ? Ils me sont tous utiles ». Peut-être. Selon Cal Newport, auteur de Deep Work et professeur d'informatique à l'Université de Georgetown, il n'y a que deux attitudes possibles face aux outils numériques. La première est l'attitude du « tout est profitable », qui suggère en gros que l'on devrait utiliser un outil tant que l'on peut en retirer un profit, quel qu'il soit. Dans cette catégorie, vous trouverez des gens défendant leur utilisation de Facebook 12 heures par jour parce que cela leur permet d'être en contact avec leurs anciens camarades de classe. Ou des gens qui assurent que consulter Twitter quatre heures par jour est leur manière de s'informer de ce qui se passe dans le monde. Dans la vidéo ci-après, Jim Clark, l'entrepreneur/informaticien et fondateur de Silicon Graphics, Netscape et de plusieurs autres sociétés, explique pourquoi il n'aime pas la façon dont les médias sociaux dévorent notre temps. Le passage qui nous intéresse commence à la minute 42.     Newport laisse entendre qu'il est préférable d'adopter l'attitude de l'artisan, selon laquelle on ne choisit que les outils qui apportent de véritables bienfaits dans les domaines qui nous importent le plus. Si vous vous sentez attiré par une toute nouvelle application parce que le reste de vos collègues l'utilisent, prenez le temps de la réflexion. Est-ce qu'elle vous permettra d'atteindre vos objectifs prioritaires ? Ou est-ce que qu'elle s'ajoutera aux nombreuses autres applications mobiles qui ne font que vous distraire ? N'oubliez pas : les applications sont conçues pour créer une dépendance Vous savez pourquoi il est si difficile de se détacher d'applications telles que Facebook et Twitter ? Parce qu'elles sont conçues dès le départ pour être les plus addictives possible. Nir Eyal, auteur de Hooked et chef de file en matière d'analyse psychologique de création de produits addictifs, a analysé l'appartenance des applications à cette catégorie. « Il s'agit d'un processus en 4 étapes, » dit-il, « qui relie votre problème à la solution d'une entreprise et ce, suffisamment fréquemment pour que cela crée une habitude ». « Cela commence par un déclencheur qui nous rappelle notre besoin d'utiliser l'application, ce qui nous mène à réaliser une action dans l'application. Cela provoque en nous une satisfaction que nous désirons fortement, et que nous ne pouvons nous empêcher de rechercher par la suite, ce qui explique notre investissement psychologique à l'égard de l'application », poursuit Eyal. En résumé, il s'agit de l'application en tête de liste dans votre esprit et sur laquelle vous cliquerez. « Le produit qui possède le 'monopole mental' gagne », explique Eyal.     Prenons un exemple : lorsque vous vous ennuyez dans une file d'attente, quelle est la première application que vous ouvrez ? Quel site Web visitez-vous lorsque vous avez besoin d'une information rapide ? Il s'agit de problèmes quotidiens très concrets et ces applications ou produits ont trouvé le moyen de relier leurs solutions à votre besoin. Vous êtes devenu accro. Alors, comment se désintoxiquer ? Voici quelques unes des nombreuses approches qui peuvent vous aider à limiter les distractions numériques dans votre vie. Adoptez chaque jour une nouvelle habitude pendant 1 mois     L'une des méthodes les plus efficaces, et les plus détaillées, pour suivre une cure de désintoxication numérique est probablement d'échanger consciemment une habitude numérique contre une habitude non numérique plus saine. Dans son article paru dans Forbes, « Try The 30-Day Digital Detox Challenge », l'auteur Nancy Colier recommande de reprendre des habitudes comme de n'utiliser aucun appareil lorsqu'on est en présence d'autres personnes (2ème jour), d'arrêter de mettre son appareil dans sa poche lorsqu'on ne l'utilise pas (3ème jour) ou de transformer la salle de bain en espace libre de technologie (13ème jour). Chaque jour, vous ajoutez une nouvelle habitude à votre liste jusqu'à ce que vous ayez 30 habitudes simultanées. Il s'agit d'une méthode d'une simplicité enfantine et donc tout à fait réalisable. Fixez-vous des limites sur l'utilisation de la technologie     Vos parents avaient raison lorsqu'ils vous disaient « Juste une heure de télé ce soir chéri ! » Le fait d'établir des limites strictes à votre utilisation de la technologie vous permettra de ne pas succomber à la tentation de l'information en temps réel constamment disponible. Conseil n°1 : StayFocusd est une extension de navigateur qui limite le temps que vous passez sur des sites Web chronophages tels que Facebook ou Youtube. Conseil n°2 : arrêtez de tout chercher. Explorez des chemins plutôt que des cartes. Utilisez un dictionnaire ou une encyclopédie plutôt qu'un moteur de recherche. Conseil n°3 : instituez des moments sans technologie ; peut-être la première heure de la journée ou l'heure qui suit le dîner, pour pouvoir vous offrir un temps de qualité. Libérez de la dopamine en faisant de l'exercice     Vous vous souvenez de la récompense variable dont parlait Nir Eyal qui nous pousse à revenir vers nos applications ? Il y a d'autres moyens d'obtenir des décharges de dopamine. Holland Haiis, expert de la désintoxication numérique et auteur de Consciously Connecting: A Simple Process to Reconnect in a Disconnected World, partage sa sagesse : « La dopamine est stimulée dans notre cerveau par l'inconnu que nous offrent les médias sociaux, les e-mails et les sms. C'est un cercle vicieux et, pour rompre ce cycle, vous devez chercher cet inconnu et cette stimulation en faisant du sport. Vous ne savez jamais ce qui vous attend au tournant lorsque vous sortez faire un jogging, un tour à vélo ou une balade à pied. » Donc au lieu de vous connecter à Facebook, enfilez plutôt vos baskets. Réduisez la liste de vos applications et de vos extensions     Vous avez plus d'applications que ce dont vous avez besoin. Probablement plus d'extensions de navigateur que nécessaire également. Après avoir déterminé les outils qui vous apportent vraiment quelque chose, débarrassez-vous des autres. Voici quelques conseils : Conseil n°1 : Supprimez les applications Facebook et Twitter. Vous savez pourquoi votre téléphone est déchargé en permanence ? C'est parce que ces deux applications sont toujours ouvertes et qu'elles suivent votre emplacement et vos habitudes. Elles sont connues pour raccourcir la durée de vie de votre batterie, ainsi que votre temps libre. Si vous avez vraiment besoin d'y accéder, vous pouvez toujours utiliser votre navigateur mobile. Conseil n°2 : si vous ne reconnaissez pas une application ou une extension de navigateur, désinstallez l'application immédiatement. Vous ne l'avez probablement pas utilisée depuis longtemps et vous ne vous souvenez même pas à quoi elle sert. Du balai ! Conseil n°3 : gardez une liste actualisée de toutes les nouvelles applications ou extension que vous essayez. Notez la date à laquelle vous l'avez installée et donnez-vous 7 jours pour l'utiliser à titre d'essai. Si cela vous sert au niveau professionnel, gardez-là. Sinon, désinstallez-là ! Arrêtez d'un coup     Les réseaux sociaux sont des produits qui peuvent être indispensables au travail quotidien d'un responsable marketing, mais qui peuvent également être source de nombreuses distractions pour le reste d'entre nous qui essayons juste de faire notre travail. Dans son ouvrage Deep Work, Cal Newport propose une approche radicale pour évaluer les réseaux sociaux : cessez de vous y connecter d'un seul coup pendant 1 mois sans rien dire à personne, après quoi répondez à deux questions : L'absence de réseaux sociaux a-t-elle eu un impact négatif sur votre capacité à réaliser votre travail ou à créer de la valeur pour votre entreprise ? Est-ce que l'on s'est plaint de votre absence sur les réseaux sociaux ? Si vous répondez « oui » aux deux questions, vous devez probablement continuer à utiliser le réseau social en question. Sinon, oubliez-les ! Si Newport reconnaît qu'abandonner les réseaux sociaux serait impensable pour certains, son message est le suivant : utilisez-les UNIQUEMENT s'ils apportent une valeur à votre travail ou vos objectifs. Si ce n'est pas le cas, vous avez réussi à ne plus vous y connecter pendant un mois, vous pouvez donc continuer sur cette voie.. Le moment est venu de lutter contre votre dépendance à la technologie En fin de compte, nous ne pouvons nous en prendre qu'à nous-mêmes si nous arrivons au stade où nos moments d'attention sont si fragmentés que nous ne sommes même plus capables de maintenir une conversation en tête-à-tête plus de quelques secondes. Il est temps d'analyser nos habitudes concernant les applications et les appareils que nous utilisons. De même que nous faisons des choix intelligents concernant notre alimentation, nous devons prendre le même type de décisions concernant notre mental, nos moments d'attention et enfin, notre productivité. En savoir plus Vous utilisez mal Internet : voici comment éliminer les distractions numériques Addiction au fonctionnement multitâche : les raisons scientifiques pour lesquelles vous ne pouvez vous empêcher de faire autre chose en même temps que votre travail Les bienfaits inespérés d'un changement des habitudes de travail

1 salarié français sur 4 perdrait toute motivation dans son travail
Actualités Wrike 5 min. lus

1 salarié français sur 4 perdrait toute motivation dans son travail

Confrontés à la révolution numérique, les entreprises françaises transforment leurs processus pour optimiser leur efficacité opérationnelle dans un environnement toujours plus concurrentiel. Cependant elles n'avancent pas toutes au même rythme !

17 statistiques étonnantes à propos du télétravail
Travail à distance 7 min. lus

17 statistiques étonnantes à propos du télétravail

Le monde du travail est en pleine mutation. Heureusement, les outils de collaboration à distance de Wrike sont là pour aider votre entreprise à s'adapter à la nouvelle révolution du travail. Découvrez comment dans cet article.

Les bienfaits inattendus de bousculer votre routine de travail
Productivité 10 min. lus

Les bienfaits inattendus de bousculer votre routine de travail

Une routine peut-elle devenir un obstacle ? Pouvez-vous tomber dans le piège et faire les choses par automatisme, qu’elles vous soient bénéfiques ou pas ? Pour faire simple, la réponse est : oui. Et lorsque c’est le cas, votre routine est plus nocive qu’autre chose. Voici les raisons pour lesquelles nous nous reposons sur ces systèmes prévisibles, ainsi que les effets positifs inattendus que peut avoir un changement de routine.

Gestion des e-mails : 10 astuces pour atteindre l’objectif « Inbox Zero »
Productivité 10 min. lus

Gestion des e-mails : 10 astuces pour atteindre l’objectif « Inbox Zero »

Pour ceux d’entre nous qui doivent faire face chaque matin à des centaines d’e-mails non lus, le concept d’une boîte de réception complètement vide (Inbox Zero) relève de l’exploit mythique, tout comme trouver le Saint Graal ou découvrir un trésor enfoui. Nous considérons les collègues qui y parviennent régulièrement avec un mélange d’envie et de méfiance : ils doivent certainement recourir à une forme de sorcellerie, n’est-ce pas ? Essayez ces 10 astuces et techniques pour atteindre l’objectif « Inbox Zero », mais aussi pour en faire une habitude. Aucune incantation magique n’est nécessaire. Astuce n° 1 : Utilisez la technique Yesterbox de Tony Hsieh. L’idée de base est la suivante : lisez et répondez aujourd’hui aux e-mails d’hier. La grande majorité des e-mails ne requièrent pas une réponse immédiate le jour même, si bien que vous pouvez laisser entrer les nouveaux messages d’aujourd’hui sans qu’ils ne soient chacun source de distraction ou de stress. Et demain, au lever, vous saurez exactement combien de messages vous devez traiter et vous pourrez planifier votre journée avec plus de précision. Tony Hsieh, le PDG de Zappos, affirme que cette méthode a renforcé sa réactivité : tout le monde reçoit une réponse le lendemain, et non plus après une semaine, un mois ou... jamais. Évidemment, les e-mails vraiment urgents peuvent être traités le jour même, mais recevoir une urgence absolue par e-mail est un phénomène plutôt rare. Conseil de pro de Hseih : Si vous utilisez Outlook, réduisez votre rubrique « Aujourd’hui » afin de rester concentré sur les messages d’hier. Vous cherchez un outil qui vous aide à améliorer votre productivité ? Commencez votre essai gratuit Wrike dès aujourd’hui ! Astuce n° 2 : Appliquez la règle des 2 minutes. Inspirez-vous de la méthode GTD de David Allen : si la tâche vous prend moins de deux minutes, rédigez la réponse immédiatement. N’attendez pas ! Astuce n° 3 : Planifiez une réunion avec votre boîte de réception. Prévoyez du temps chaque jour pour parcourir vos e-mails, que vous optiez pour une longue session d’une heure en milieu de matinée ou pour trois périodes de 20 minutes au début, au milieu et à la fin de la journée. Puis ne consultez plus votre messagerie en dehors de ces moments-là. Pendant que vous travaillez, ne laissez pas votre messagerie ouverte en arrière-plan dans un onglet du navigateur. Désactivez les notifications. En dédiant un moment précis à la gestion de votre boîte de réception, cette tâche cessera de vous tourmenter pendant la journée et vous conserverez à tout moment le contrôle sur vos messages. Vous aimeriez savoir quel est le meilleur moment pour consulter votre boîte de messagerie ? D’après cet article, le meilleur moment pour traiter vos messages se situe deux heures après avoir commencé à travailler. Astuce n° 4 : Essayez Unroll.me. Cette application regroupe tous vos abonnements électroniques et bulletins d’information en un seul message quotidien. Au lieu de devoir trier des dizaines d’e-mails quotidiens, vous n’aurez plus qu’à consulter un seul message. En un clic, vous vous désabonnez de plusieurs listes à la fois et, comme vous pouvez parcourir rapidement toutes les offres et mises à jour dans un seul message, vous traitez les e-mails indésirables beaucoup plus rapidement. Si vous suivez de nombreux blogs par e-mail, pensez à utiliser un lecteur RSS comme Feedly ou Inoreader au lieu d’encombrer votre boîte de réception. Astuce n° 5 : Reprogrammez vos e-mails. Installez Boomerang pour Gmail et planifiez vos e-mails afin qu’ils réapparaissent à un moment déterminé. Cette méthode est particulièrement utile pour les messages qui nécessitent certaines recherches avant l’envoi de la réponse et pour le traitement simultané de tâches similaires. Imaginons que vous avez publié une offre d’emploi et que les e-mails de candidats potentiels commencent à affluer. Habituellement, vous triez les nouveaux CV le vendredi matin. Il vous suffit alors de reprogrammer les e-mails de demandeurs d’emploi afin qu’ils apparaissent dans votre boîte de réception le vendredi matin. Ces messages ne seront plus une source de distraction ou de préoccupation car vous ne les verrez plus dans votre boîte de réception, mais vous les recevrez au moment opportun et vous pourrez alors les traiter. Astuce n° 6 : N’ayez pas peur de supprimer. Si le message est vraiment important, quelqu’un ne manquera pas de vous recontacter pour effectuer un suivi. Bref, si vous en venez à vous demander si un e-mail doit être conservé, supprimez-le. En règle générale, votre corbeille conserve les messages supprimés pendant 30 jours ; donc si vous avez supprimé quelque chose par accident, vous pourrez toujours le récupérer. Mais croyez-nous : 99 % du temps, vous n'aurez pas à le faire. Astuce n° 7 : Modifiez votre message d'absence du bureau. Les vacances sont un moment formidable, mais être confronté au retour à une montagne d’e-mails non lus peut s’avérer très déprimant, et cela peut vous prendre une éternité de gérer tous ces nouveaux messages. Remplacez le message type d’absence du bureau par celui-ci : « Je suis absent du bureau du 10/11 au 18/11 et ne verrai pas votre message. Veuillez renvoyer votre e-mail après le 18/11. ». Puis filtrez tous les messages entrants pour les envoyer directement à la corbeille pendant votre absence. Si cela est important et que la date limite n’est pas passée, ces messages vous seront renvoyés, et une boîte de réception bien organisée vous attendra à votre retour au bureau. Astuce n° 8 : Placez toutes vos tâches dans Wrike. Enlevez vos tâches de votre boîte de réception et placez-les dans votre espace de travail avec le reste de vos tâches. Les extension Gmail convertissent rapidement des e-mails en tâches, de sorte que vous pouvez trier vos messages et gérer votre liste de tâches efficacement plutôt que de les laisser traîner dans la boîte de réception. Vous bénéficierez d’une meilleure organisation et votre boîte de messagerie deviendra plus gérable. Astuce n° 9 : Déplacez les conversations hors de votre boîte de réception. Gardez votre boîte de réception bien rangée en limitant la quantité de messages que vous générez. Pour éviter une longue chaîne de réponses par e-mail, éloignez-vous de votre ordinateur et privilégiez des conversations en face-à-face, décrochez le téléphone ou envoyez un message instantané. Astuce n° 10 : Jouez à The Email Game. Les conseils ci-dessus vous aideront à maintenir votre boîte de réception organisée mais, avant d’y parvenir, comment faire pour traiter la montagne actuelle de messages non lus ? Vider votre boîte de réception ne devrait pas être une corvée : rendez la tâche amusante ! The Email Game vous donne un laps de temps déterminé pour agir sur chaque e-mail : répondre, transférer, étiqueter, archiver, supprimer ou ignorer pour y revenir plus tard. Collectez des points chaque fois que vous battez le chrono qui est déterminé en fonction de la longueur de chaque e-mail. Après avoir géré avec brio un lot de messages, vous obtiendrez un rapport de situation montrant combien de temps vous avez gagné, ainsi que votre rang dans le classement. Essayez juste de ne pas devenir accro en essayant de battre votre meilleur score à tous les coups ! « Inbox Zero » signifie zéro temps perdu dans votre boîte de réception. Saviez-vous que la véritable définition de l’« Inbox Zero », telle qu’elle a été initialement conçue par Merlin Mann, n’a en fait rien à voir avec le nombre de messages non lus ? Il s’agit en réalité de la quantité d’attention que vous dédiez à la gestion des e-mails, autrement dit la mesure dans laquelle votre boîte de réception pèse sur votre esprit. Avoir une boîte de réception complètement vide est en effet une façon d’y parvenir mais ce n’est pas l’unique moyen. Bref, ne vous faites pas de souci si vous n’atteignez pas cet objectif de productivité tous les jours, ou même si vous n’y parvenez pas du tout. Le véritable exploit consiste à trouver une méthode adaptée qui vous permette de prendre le contrôle de votre messagerie. Essayez ces astuces et n’hésitez pas à nous faire part des résultats obtenus ! Wrike peut vous aider dans l’organisation et la gestion de vos tâches et rappels. Faites un essai gratuit dès aujourd’hui et rendez votre boîte de réception plus productive que jamais.

9 phrases pour relancer la productivité de votre équipe
Productivité 7 min. lus

9 phrases pour relancer la productivité de votre équipe

Vous avez peut-être visité notre blog et lu notre article intitulé « Les 10 phrases à ne jamais prononcer lorsque vous déléguez une tâche ». Si ce n’est pas le cas, cessez ce que vous êtes en train de faire et lisez-le. Cet article attire votre attention sur les phrases généralement entendues sur le lieu de travail qui ralentissent la productivité des employés. Certaines d’entre elles vous échappent peut-être de temps à autres ? En réponse à cet article, un de nos lecteurs a proposé que nous développions une liste des choses à dire pour stimuler la productivité de vos collègues lorsque vous leur demandez d’accomplir une tâche. Donc sans plus attendre, laissez-nous vous présenter... 7 phrases clés pour accroître votre productivité... 1. « Voici tous les documents nécessaires à l’accomplissement de votre travail ». Lorsque vous déléguez une tâche, la pire des choses que vous puissiez faire c’est de demander à vos employés d’effectuer un travail sans leur donner accès aux ressources dont ils ont besoin - autrement dit, le meilleur moyen de vous mener droit dans le mur. Si vous venez de demander à un membre de votre équipe de commencer à plancher sur un nouveau projet, assurez-vous de lui fournir tous les outils dont il a besoin pour commencer à travailler directement - informations sur le projet, modèles, contrats... 2. « Vous trouverez ici des exemples de travaux similaires réalisés auparavant ». Ce projet a-t-il déjà été réalisé auparavant ? Un excellent moyen de tendre les rênes à quelqu’un consiste à lui fournir des exemples de travaux réalisés auparavant. La personne qui se voit confier le travail sait dès lors quelles sont vos attentes. Fournir des références vous évitera de recevoir un travail qui ne correspond pas à vos attentes. 3. « Discutons de la date à laquelle vous pensez pouvoir terminer ce travail ». Discuter d’une d’échéance plutôt que la demander constitue un excellent moyen d’avoir la certitude que le travail sera fait. Offrez à votre chargé de mission l’occasion de parler de ses autres engagements de manière à pouvoir déterminer si votre échéance idéale reste toujours viable. Ce sera également l’occasion pour vous de réorganiser ses priorités, si nécessaire. 4. « Au cas où vous rencontreriez un problème en cours d’exécution de votre tâche, prévenez-moi - ou l’équipe - aussitôt que possible afin que nous puissions trouver une solution ». Offrez ouvertement votre aide de manière à ce que votre collègue ne se sente pas angoissé à l’idée de devoir vous poser des questions - mais uniquement si vous tenez vos promesses ! S’il peut compter sur vous et sur le reste de l’équipe en tant que ressource, vous serez en mesure de faire sauter les obstacles dès leur apparition et de boucler le projet dans les délais impartis. Plus il attendra pour poser ses questions ou demander de l’aide, plus loin dans le temps sera reporté le projet. 5. « Judy et John ont l’habitude de ce type de travail. « N’hésitez pas à leur demander de l’aide. » Cela équivaut à lui fournir des exemples de travaux ou de projets similaires, conduits dans le passé. Lorsque vous déléguez une tâche à un membre de votre équipe, indiquez-lui les personnes ayant l’expérience de ce type de projet de manière à pouvoir leur poser des questions. En communiquant ces informations au préalable, vous lui éviterez de courir dans tous les sens pour tenter de trouver des réponses à ses questions. 6. « Comme vous avez accompli un excellent travail la dernière fois, je suis convaincu qu’il en sera de même pour ce projet/tâche ». Le renforcement positif est réel et éprouvé. En témoignant votre confiance à l’égard des compétences professionnelles d’une personne, vous l’encouragez à vous fournir un excellent travail ! 7. « Vous avez travaillé dur, prenez une pause ! ». Les pauses sont la clé d’une productivité durable. Faites savoir aux membres de votre équipe que vous ne voyez aucun inconvénient à ce qu’ils prennent une pause - pour autant que ce soit bien mérité. La Technique Pomodoro suggère une pause de 3 à 5 minutes toutes les 25 minutes de travail. Et 2 questions pour relancer votre productivité : Nous savons tous que dire de temps à autres « Je suis là ! Demandez-moi de l’aide ! » ne suffit pas. Les membres de votre équipe seront peut-être trop timides pour profiter de votre proposition, ou penseront tout simplement que cela risquerait d’être mal pris de faire appel à vous. Si vous souhaitez vraiment vous assurer une productivité maximale de la part de vos collègues, songez à reformuler vos affirmations sous la forme de questions et invitez-les à partager avec vous toutes leurs inquiétudes entourant le projet. 1. « Entrevoyez-vous des obstacles (vous manque-t-il quelque chose) qui vous empêcheraient de finir le travail dans les délais prévus ? » Cette simple phrase permettra à votre collègue d’identifier tout ce qui pourrait entraver le bon déroulement de son travail dans le cadre du projet. Les réponses peuvent s’étendre des allusions à des documents manquants, à une collaboration trop lente avec d’autres membres de l’équipe. 2. « Avez-vous une idée à proposer pour améliorer ce projet et le terminer néanmoins dans les délais ? » Vous ne savez jamais quelle idée géniale pourrait être mise sur la table ! Si le chargé de mission détient une excellente idée pour améliorer un projet ou accélérer le processus, ouvrez grand vos oreilles et écoutez-le. Votre collègue sera plus susceptible de s’impliquer dans un projet s’il a contribué aux séances de brainstorming. Aviez-vous déjà entendu parler de ces quelques lignes autour de votre bureau avant ? Tâchez de vous en souvenir la prochaine fois que vous déléguerez une tâche, et faites-nous savoir si vous les avez jugées utiles. Ajoutez vos témoignages de réussites aux commentaires ci-dessous ! La prochaine fois que vous devrez déléguer une tâche, utilisez Wrike pour passer le flambeau plus facilement. Faites un essai gratuit dès aujourd’hui !

Wrike Happiness Index 2018 : les salariés français, champions du travail collaboratif
Actualités Wrike 5 min. lus

Wrike Happiness Index 2018 : les salariés français, champions du travail collaboratif

D’après l’étude Happiness Index 2018 de Wrike, 74% des salariés français plébiscitent le travail collaboratif. Ils s’estiment aussi les mieux organisés, 89% d’entre eux commençant leur journée de travail en connaissant leurs priorités.