Emily Bonnie, Author at Blog Wrike | Page 3 of 51
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Emily Bonnie

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Emily is a former Content Marketer of Wrike. She specializes in leadership, collaboration, and productivity. Her brain is stuffed with obscure grammar rules, an embarrassing amount of Star Wars trivia, and her grandmother’s pie recipes.

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Comment créer un plan de gestion infaillible ? Conseils d’experts
Gestion de projets 10 min. lus

Comment créer un plan de gestion infaillible ? Conseils d’experts

Une mauvaise planification peut ruiner votre projet avant même que le travail n'ait commencé. La révision des attentes, la réduction des budgets et les malentendus peuvent faire dérailler jusqu'aux projets les plus simples, et générer du stress chez toutes les personnes concernées. Un projet planifié minutieusement permet de garder en vue les objectifs et de les atteindre, mais aussi d'éviter d'exploser le budget. Cependant, prendre le temps de planifier un projet est une tâche colossale. Comment prévoir exactement le temps que prendra une tâche ? Comment traduire les attentes des parties prenantes en produits concrets ? Et si les choses ne se passaient pas comme prévu ? Nous avons recueilli les conseils de 5 experts chevronnées en gestion de projet pour qui l'établissement d'un bon plan de gestion n'a plus de secret. Les éléments essentiels d'un plan de gestion de projet Que devez-vous inclure dans votre plan de gestion de projet ? D'après Elizabeth Harrin, blogueuse primée, spécialiste de la gestion de projet, un plan de projet minutieux comprend les éléments suivants : Une brève définition du projet : avec des informations sur le thème du projet et sur son objectif ; c'est-à-dire quelques lignes résumant la finalité, les objectifs et les livrables finaux.  La stratégie d'exécution : vous y expliquerez comment se déroulera le projet. Quelle méthodologie utiliserez-vous ? La livraison aura-t-elle lieu sous forme d'un lancement unique ou d'un lancement par étapes ?  La portée : qu'est-ce qui fait partie de votre projet (et qu'est-ce qui n'en fait pas partie) ? Indiquez la structure détaillée de votre travail et les livrables clés.  Le programme : en fonction de la manière dont a été défini le projet, il peut s'agir d'une présentation approfondie du moment où seront complétés des éléments spécifiques, ou de votre diagramme de Gantt détaillé avec les jalons et dates de livraison.  Un organigramme : description générale de la hiérarchie de l'équipe du projet, des fonctions, et des responsabilités. Si plusieurs équipes ou départements participent à votre projet, il convient de préciser comment ces équipes travailleront ensemble, qui sont les parties prenantes et qui est le responsable de chaque produit. Une matrice RACI : ce diagramme permet de déterminer exactement qui fera quoi dans votre projet. Il s'agit d'une matrice de toutes les activités d'un projet, associées à toutes les fonctions concernées, informant sur les personnes impliquées (à qui on a confié le travail), les personnes responsables (qui ont un droit de veto ou le pouvoir de dire oui/non), les personnes consultées (qui doivent approuver ou contribuer) et les personnes à informer (qui doivent être au courant des actions ou décisions). À chaque intersection d'activités et de fonctions, chaque fonction est attribuée à une personne spécifique. Pour obtenir un modèle de matrice RACI téléchargeable, cliquez ici.    Crédit image : racichart.org   Un plan de gestion des risques et un registre des risques : même si vous établissez un budget au centime près et que vous définissez chaque jalon, le risque zéro n'existe pas, même pour les petits projets. Élaborez un plan pour identifier et réduire les risques dès le début. Pour consulter le guide de l'évaluation et de la gestion des risques étape par étape, cliquez ici.  Les détails budgétaires : notamment une estimation des heures supplémentaires, des formations, des frais de consultation, des équipements et des fournitures, des achats de logiciels, des frais de déplacement, etc. Certaines de ces sommes peuvent s'avérer difficiles à déterminer à l'avance, mais essayez d'être le plus précis possible et rappelez à tout le monde qu'il s'agit d'un budget prévisionnel. Un plan de communication et un programme des rapports : ils décrivent en détail avec qui vous communiquerez, ce que vous partagerez, à quelle fréquence et sous quelle forme.  Un programme des achats : si vous avez besoin d'acheter quelque chose pour mener à bien votre projet (logiciel, matériel, etc.), c'est là que vous consignez la façon dont vous envisagez la recherche et le choix des fournisseurs et comment vous pensez gérer les contrats. Un plan de gestion des informations : il décrit comment vous comptez stocker et partager les informations du projet, et comment vous prévoyez de vérifier les documents et de protéger la sécurité des données du projet.  Un plan de gestion de la qualité : vous y expliquerez comment vous envisagez de gérer la qualité du projet, quelles sont les normes de qualité que vous avez établies, comment vous prévoyez de respecter ces normes et quel programme vous proposez pour mettre en place des audits ou contrôles de qualité.  Cela fait beaucoup d'informations à traiter, mais souvenez-vous qu'il ne s'agit que d'un exemple de plan de gestion de projet. Un bon plan de projet n'inclut pas nécessairement tous les éléments qui figurent dans cette liste. Comme l'indique Harrin, « Ce n'est pas parce que votre document est plus long que vous paraîtrez plus intelligent ou mieux organisé ». En revanche, il y a de fortes chances que personne ne lise ce document à part vous ». Un plan de projet simple, facile à lire est bien plus efficace. Commencez par élaborer un cahier des charges Selon Brad Egeland, chef de projet informatique, auteur et consultant, le succès de votre plan de projet repose sur le Cahier des charges. Pourquoi ? Parce qu'il met tout le monde sur la même longueur d'onde dès le départ. Plus tard, lorsqu'apparaissent de nouvelles exigences et que l'on s'éloigne des objectifs, on peut reprendre le cahier des charges pour revoir la façon dont le projet était censé évoluer au départ. Le cahier des charges doit contenir un énoncé de l'objectif/de la valeur commerciale, la description des livrables du projet, la définition des jalons, l'estimation des efforts, du calendrier et coûts associés, et une description détaillée des fonctions et des responsabilités de l'équipe. Chronométrez-vous Max Wideman, célèbre chef de projet et co-auteur du premier « Project Management Body of Knowledge » (PMBOK), préconise une méthode simplifiée pour la planification de projet. Son approche SCOPE-PAK vous aidera à élaborer un plan de projet en 60 minutes ou moins (Wideman vous invite à le prendre au pied de la lettre et de vous chronométrer). Convoquez les principales parties prenantes et les membres de l'équipe pour déterminer les objectifs que vous souhaitez atteindre et comment vous envisagez de vous y prendre.         Première étape : les parties prenantes. Notez quelles personnes devront être contactées pour obtenir de l'aide, des informations ou les approbations, et désignez le promoteur du projet. Si la liste s'allonge, procédez à une classification des intervenants par ordre d'importance. Deuxième étape : les éléments du projet. Il s'agit de la structure détaillée de votre travail. Énumérez les éléments importants du travail et les suggestions (vous les examinerez plus tard, pour l'instant contentez-vous de les lister). Limitez-vous à 30 éléments, et lorsque votre équipe semble à court d'idées, stoppez cette étape et passez à la suivante. Troisième étape : objectifs et résultats. Écrivez les objectifs du projet, puis définissez les résultats attendus. Analysez votre travail en vous demandant si vous atteindrez vos objectifs en réalisant tous les éléments de la liste de la deuxième étape. Quatrième étape : alternatives possibles. Quelles solutions de remplacement pourraient également convenir pour atteindre les objectifs du projet ? Y a-t-il une manière plus efficace pour atteindre vos objectifs ? Cinquième étape : questions économiques et difficultés. Quelle est la stratégie de financement du projet ? Quelle place lui accorde-t-on par rapport à d'autres projets dans la hiérarchie des priorités ? De quelles ressources aurez-vous besoin ? Quelles difficultés allez-vous rencontrer ? Sixième étape : plan d'attaque. Étudiez votre liste de tâches et décidez quelle est celle qui devra être effectuée en premier. Étiquetez-la avec un A. Puis continuez avec les lettres B, C, D, etc. Ensuite, demandez-vous ce qui peut être fait simultanément avec les tâches A, ou B et ainsi de suite. C'est comme cela que vous établirez la planification des tâches. Septième étape : prévisions et risques. Quels problèmes peut poser chaque tâche ? Comment pouvez-vous réduire les risques, ou trouver des solutions de rechange ? Huitième étape : les indicateurs clés du succès. Identifiez les 3 ou 4 parties prenantes les plus importantes et demandez-vous ce qui répondra le mieux à leurs attentes. Les réponses sont les indicateurs de succès du projet. Définissez comment mesurer chacun de ces derniers lorsque le projet est terminé. Vous pouvez (et devriez) continuer à travailler pour clarifier le plan de travail du projet, mais en une heure seulement, vous aurez établi un solide plan d'attaque : vous aurez notamment identifié les parties prenantes, clarifié les objectifs et défini les résultats attendus. Évitez la planification excessive Selon Ricardo Vargas, un spécialiste en gestion de projet de renommée internationale, la notion d'urgence est l'ingrédient le plus important d'un projet réussi. Les chefs de projet doivent pouvoir répondre rapidement aux demandes des clients et des parties prenantes, et cela fait appel à leur capacité à agir, plutôt qu'à leur capacité à discuter des délais et des budgets autour d'une table. Votre projet est inutile tant qu'il n'est que sur papier ; vous devez donc simplifier le processus de planification autant que vous pouvez. N'incluez que l'essentiel dans votre plan de projet, puis mettez-vous au travail ! Vargas utilise une version consolidée du guide de planification décrit dans le PMBoK. Vous pouvez en apprendre davantage sur les caractéristiques de chaque point de son processus de planification sur son blog.      Élaborez un plan simple Les plans de projet peuvent se compliquer rapidement, surtout quand les parties prenantes et les promoteurs de projet commencent à donner leur point de vue. Pour être sûr que vous ne compliquez pas trop les choses, le blogueur spécialisé en gestion de projet Kiron Bondale préconise de commencer avec les 5 questions basiques pour fournir un contexte et une perspective aux détails de votre plan de projet.  Pourquoi ? Quels sont les avantages fondamentaux que représente la réalisation de ce projet pour l'entreprise ? Quoi ? Quelle la portée du projet ? Qu'est-ce que le projet comprend ? Qui ? Quelles sont les fonctions basiques nécessaires pour livrer ce que le projet comprend ? Quand ? Quand doivent être livrés les éléments du projet pour obtenir les avantages pour l'entreprise ? Où ? Quel est l'endroit le plus approprié pour effectuer le travail ? Où les clients et les utilisateurs finaux utiliseront-ils les éléments du projet ? Seulement après avoir répondu à ces questions pourrez-vous envisager de réfléchir à la manière de développer le projet. Les meilleures pratiques en gestion de projet Comme vous pouvez le constater, même parmi les experts en gestion de projet il existe plusieurs approches pour créer un plan de projet. Il n'y a pas qu'une seule « bonne méthode » à suivre ; en revanche, il existe bien une pratique qui fait l'unanimité entre les chefs de projet chevronnés : consacrer du temps à bien définir les principaux objectifs du projet avec les parties prenantes avant de débuter le travail. Une autre pratique recommandée est de tenir une réunion de lancement du projet. C'est l'occasion de vous assurer que les objectifs sont partagés par tous les membres de votre équipe ainsi que de clarifier les fonctions et les responsabilités de chacun, d'établir les critères de réussite et de choisir la méthodologie et les outils de votre gestion de projet. Suivez nos conseils pour organiser la réunion de lancement de projet parfaite qui donnera le bon ton pour votre équipe.  Enfin : recueillez le plus de documents possibles. Garder des traces de la progression de votre projet vous aidera à analyser votre performance et à prendre des décisions plus éclairées. Ressources supplémentaires pour la planification de projet Concepts de base en gestion de projet : 6 étapes pour élaborer un plan de projet sans faille Éléments fondamentaux pour un plan de projet parfait (infographie) 10 étapes pour un lancement de projet qui déménage : une checklist pour les responsables de projet Concepts de base en gestion de projet : initiation aux diagrammes de Gantt Modèle de plan de gestion de projet

Cessez d'être gentil ! Le guide stoïcien de la gestion des conflits au travail
Leadership 10 min. lus

Cessez d'être gentil ! Le guide stoïcien de la gestion des conflits au travail

 « Là où tout le monde pense pareil, personne ne pense beaucoup. » — Walter Lippmann La collaboration et le conflit ne sont pas opposés : ils vont de paire. Il est temps de bannir l'idée que les équipes très performantes sont composées de gens souriants qui s'entendent toujours bien. Le travail d'équipe doit être brouillon, et un bon manager n'est pas là pour créer un environnement de travail pseudo-joyeux où il serait plus concerné par le maintien de la paix que par l'exécution du travail. Pensez aux rivalités entre les services Marketing et Ventes, ou à la compétition entre vos meilleurs représentants commerciaux. Cette tension saine alimente le succès. Mais comment faire pour que le conflit reste productif ? Vous devez être capable de détecter le moment où une tension saine risque de devenir perturbatrice, et intervenir pour éviter que l'environnement de travail ne devienne toxique. Lorsqu'un membre de votre équipe est en mauvais termes avec un collègue d'une autre équipe, ou d'un autre service, comment pouvez-vous les aider à surmonter la situation ? Et comment créer un environnement de travail où le conflit stimule le progrès et la réussite ? Penchez-vous sur la sagesse ancestrale de l'un des plus grands leaders de l'histoire, Marc Aurèle. Qui est Marc Aurèle ?     Sans doute l'un des plus grands gouvernants de l'histoire, Marc Aurèle est largement considéré comme l'incarnation du leader idéal. Aurèle, que vous connaissez sûrement comme l'empereur romain plein de sagesse du film Gladiator, a gouverné de 161 à 180. Aurèle connaissait bien le conflit, il passa ses dernières années au pouvoir à combattre la menace grandissante des tribus germaniques. Il lutta également contre sa conviction personnelle que son fils unique, Commode, n'était pas apte à lui succéder. C'est à cette période qu'il a écrit Les pensées pour moi-même. Cette compilation des réflexions et méditations d'Aurèle sur la philosophie stoïcienne est considérée à l'heure actuelle comme l'une des plus grandes œuvres philosophiques de toute l'histoire. Le stoïcisme consiste en l'acceptation de ce que l'on ne contrôle pas et la gestion de ses émotions. Les stoïciens répondent au conflit avec raisonnement et logique plutôt que par des débordements émotionnels. Remporter une querelle n'a aucun sens : la vertu et le caractère sont les seuls éléments importants. Ne vous méprenez pas, le stoïcisme n'est pas si simple. L'approche ne consiste pas à laisser les gens dire ce qu'ils veulent sur vous, parce qu'au final, cela n'a pas grande importance. Il s'agit de distinguer ce qui est réellement important de ce qui ne l'est pas pour que les problèmes temporaires ne puissent vous empêcher de donner le meilleur de vous-même. L'égo, la politique, les règles de bienséance, « notre façon de faire les choses ici » ; voilà ce que les stoïciens cherchent à ignorer. Une approche stoïcienne de la résolution de conflit Comment appliquer un conseil vieux de 2 000 ans à l'environnement de travail moderne ? La gestion des conflits est une tâche que les responsables peuvent trouver ardue, ou même essayer d'éviter à tout prix. En fait, 85 % des cadres rencontrent dans leur société des problèmes qu'ils ont peur de soulever à cause du conflit que cela provoquerait. Mais le conflit est inévitable dans l'environnement de travail. Les Pensées d'Aurèle offrent de sages conseils pour les responsables d'aujourd'hui qui cherchent des stratégies permettant au conflit de mener au succès. Le conflit est inévitable     Le conflit n'apparaît pas toujours parce que les gens causent des difficultés... mais c'est parfois le cas. L'égo, les comportements incorrects et les histoires de bureau font partie intégrante de toute société. Qu'on le veuille ou non, certaines personnes vous rendront la vie difficile simplement parce qu'ils cherchent à rendre la leur plus facile. Commencez la journée en pensant que vous allez rencontrer des obstacles. Ainsi, ces derniers ne vous énerveront pas autant lorsqu'ils se produiront. Attendez-vous à ce que certains remettent en cause vos décisions, vous fassent perdre du temps et tirent profit de votre volonté d'aider. En anticipant leur comportement, vous pouvez vous préparer mentalement, apprendre à éviter de vous engluer dans des tâches et discussions chronophages, et être capable de justifier vos décisions lorsqu'elles seront controversées. Si les choses se passent mieux que prévu, vous en serez agréablement surpris. Cela finira par passer aussi     L'un des principes fondateurs de la philosophie de Aurèle est que, dans l'ordre des choses, rien ne dure éternellement. Pour citer un philosophe d'un autre type, « La vie passe très vite ».  Cette pensée ne doit pas vous déprimer ; en fait, elle doit être libératrice. Pourquoi perdre votre temps et votre énergie en vous énervant pour des choses qui ne sont pas réellement importantes ? Le Directeur Marketing qui critique vos idées de campagne n'a pas d'importance sur une échelle cosmique, même si cela peut sembler vital à ce moment précis. Une dose de relativisme peut vous aider à ne pas vous fâcher pour des problèmes qui ne feront que vous distraire des choses qui importent vraiment. Se tracasser pour les conflits n'arrange pas les choses     La colère ne fait qu'empirer une situation. La contrariété à cause de quelqu'un qui vous a mal parlé lors d'une réunion ne vous aidera pas ; vous n'en serez que plus troublé. De plus, cela fait perdurer la situation. Ce qui n'aurait dû être qu'un mauvais moment à passer devient soudainement une obsession, car vous revivez ce moment encore et encore. Finalement, vous prenez conscience que vous n'avez absolument pas avancé dans votre travail parce que vous êtes dans tous vos états... ou pire, en train de vous plaindre..  La colère ne fait souffrir qu'une seule personne : vous. Quelles opinions sont à privilégier ?     Qu'importe si Janis du service de conception pense que votre présentation PowerPoint semble dater de 1986 ? Si Paul du service performances dit que vous idées sont mauvaises ? Ou si Laura du service des contenus Marketing ne cesse de supprimer les modifications que vous réalisez sur vos documents ? En définitive, vous ne devez des comptes qu'à très peu de personnes. Pourquoi les opinions du reste des gens devraient-elles avoir une quelconque importance ? Au lieu de laisser cela vous énerver, puisez votre confiance dans le fait que les gens dont l'opinion importe réellement (vous et vos responsables) croient en votre performance. La critique n'équivaut pas au conflit     N'engendrez pas un conflit à partir d'une critique. Personne n'est parfait, et personne ne fait un travail parfait. Une réflexion honnête sur soi-même est essentielle pour progresser, et vous devriez être attentif à tous types de retours de tous types de personnes. Si quelqu'un remarque un défaut dans votre travail ou vos idées, n'envisagez pas automatiquement cela comme une attaque. Nul besoin de vous attarder sur vos imperfections ou de perdre confiance ; saisissez l'opportunité de les identifier et de vous améliorer. Rendez la critique constructive. Les conflits surviennent lorsque les gens sont impliqués     Que préféreriez-vous : un groupe de personnes qui acceptent tout mais ne montrent aucun intérêt ? Ou une équipe de personnes qui argumentent avec passion et défendent ce qu'elles croient être la meilleure approche ? Bien jouer en équipe signifie défier les autres pour mettre au jour les raisonnements et les processus imparfaits. Mais tout le monde ne tombera pas d'accord sur l'identification de ces défauts. Vous êtes censé être en conflit avec certaines équipes, car vous défendez chacun des choses différentes. Le service des Finances va appuyer la solution la plus économique, tandis que le service Marketing va argumenter en faveur de la plus réactive. Ces deux raisonnements sont pertinents : le rapport coût-efficacité est aussi important que l'optimisation. Les autres ne sont pas en désaccord avec vous parce qu'ils ne vous apprécient pas, parce qu'ils ont l'esprit de contradiction, ou parce qu'ils sont dans l'erreur. Ils font simplement leur travail. Le mieux que vous puissiez faire pour votre équipe est d'aborder directement ces tensions sous-jacentes. Banalisez-les. Faites-les émerger, afin que celle-ci puisse comprendre les points de vue divergents et en comprennent l'origine. Lors de votre prochaine réunion, dites à votre équipe : « Attendez-vous à ce que Lucas argumente en faveur de la solution la plus rapide, en dépit des coûts, car le respect du délai est l'une de ses principales priorités ». Rappelez à votre équipe que vous vous battez tous pour la meilleure solution. Le conflit peut stimuler l'innovation     Si vous êtes en conflit avec quelqu'un et que cela devient réellement un obstacle ou vous empêche de faire ce que vous souhaitez faire, trouvez un autre moyen. C'est une opportunité pour vous de résoudre le problème de façon créative. Adaptez-vous. Téléchargez la liste complète des citations et des conseils pour vous inspirer lorsque des frictions naissent dans votre équipe. Encourager le conflit productif C'est votre leadership qui pourra aider votre équipe à gérer les conflits au bureau. Votre équipe doit comprendre que vous êtes à leur écoute lorsque des conflits apparaissent et que vous êtes là pour les aider. Ils ne doivent pas garder cela pour eux-même et le ruminer en silence. Tout d'abord, ne protégez pas votre équipe des conflits ou des désaccords. Soyez honnête au sujet des discussions et des débats ayant lieu entre les dirigeants, notamment sur les décisions qui les concernent. Vous n'avez pas à laver le linge sale en public, expliquez simplement comment des points de vue différents ont convergé en une nouvelle décision. Dans votre travail quotidien, encouragez les opinions qui divergent et qui remettent en question les idées reçues. Montrez à votre équipe qu'être en désaccord ne signifie pas qu'ils sont de mauvais équipiers ou des employés difficiles. Au lieu de hurler et de pointer du doigt, favorisez le type de conflit qui améliore les raisonnements et les résultats. Sources : RyanHoliday.net, Harvard Business Review, 99u.com, daringtolivefully.com, wikipedia.org, philosophybasics.com, TED Blog

Travailler efficacement : 13 stratégies à adopter aujourd'hui
Productivité 7 min. lus

Travailler efficacement : 13 stratégies à adopter aujourd'hui

Travailler efficacement, ce n'est pas simplement valider les tâches d'une liste de choses à faire : c'est faire plus de choses qui comptent vraiment.

10 étapes pour le lancement de projet efficace
Gestion de projets 3 min. lus

10 étapes pour le lancement de projet efficace

Pour maximiser vos chances de réussite, suivez notre liste de vérification et lancez efficacement un projet en 10 étapes !

9 métriques marketing importantes pour votre directeur marketing
Marketing 10 min. lus

9 métriques marketing importantes pour votre directeur marketing

Que vous commenciez votre activité ou que vous ayez besoin de réorganiser votre stratégie marketing, la définition des métriques réellement importantes est la base d'une campagne réussie. Après tout, comment est-il possible d'élaborer une stratégie adéquate sans une bonne compréhension des objectifs que vous tentez d'atteindre ? Le marketing efficace se base sur une science, pas sur une intuition. Cela signifie que vous devez suivre les chiffres, analyser les données et mesurer les résultats. De trop nombreuses sociétés s'appuient sur des métriques basiques comme le volume de prospects et le trafic sur site Web pour mesurer leur efficacité. Même s'il est important d'aborder ces données essentielles, si vous ne faites pas d'analyse plus profonde, vous vous privez d'observations clés de votre performance marketing et d'opportunités d'améliorations précieuses. Utilisez ces 9 métriques marketing avancées pour renforcer vos campagnes, obtenir de nouveaux clients et réaliser un meilleur retour sur investissement publicitaire. 1. Volume de prospects —> Taux de conversion des prospects en clients L'importance de mesurer le nombre de prospects généré par vos campagnes marketing est évidente. Mais si vous n'allez pas plus loin, vous vous privez d'un élément essentiel du puzzle : le nombre de prospects qui deviennent réellement des clients. En connaissant ce chiffre, vous pouvez savoir si votre équipe de vente a besoin d'un volume de prospects plus important, de prospects de meilleure qualité, ou d'une assistance supplémentaire pour favoriser les ventes. Pour le mesurer : la référence des taux de conversion varie selon les secteurs, mais quelques minutes de recherche sur le Web vous fourniront une solide compréhension des chiffres que vous pouvez viser. Selon Capterra, les taux de conversion sur les sites de logiciels B2B, par exemple, avoisinent les 7 %, tandis que ceux du matériel informatique sont à 5 % et ceux de la vente au détail à 3 %. Il est également important d'appréhender les taux de conversion à chaque étape du processus d'achat, car vos taux au début et à la moitié du processus doivent théoriquement être supérieurs aux taux de conversion à la fin du processus. 2. Point de conversion : attribution multi-touch Peu de personnes font leurs recherches et leurs achats lors de la même session sur le Web. La plupart commencent leurs recherches sur un produit ou accèdent à du contenu par hasard, puis ils cliquent sur le lien de votre site Web et se promènent sur votre blog. Des jours ou des semaines plus tard, il font une recherche sur le nom de votre société, cliquent sur une publicité payante et effectuent leur achat. Si vous ne prenez en compte que le point de conversion, vous ne voyez pas l'ensemble du parcours du client, et vous sous-évaluez des aspects essentiels de vos efforts de marketing. Pour le mesurer : vous pouvez utiliser de nombreux modèles d'attribution, selon ce que vous cherchez à apprendre et le fonctionnement de votre organisation marketing. Le modèle d'attribution linéaire représente l'un des moyens permettant de reconnaître chaque étape du processus d'achat, de la première interaction à la création d'opportunité, en passant par la conversion en prospect. Il fournit également une vision plus approfondie du parcours du client. Dans ce modèle d'attribution, 30 % des mérites sont accordés au premier clic, 30 % vont au clic ayant généré la conversion en prospect, et 30 % vont au clic ayant créé l'opportunité de vente. 10 % des mérites sont accordés à toutes les autres interactions.   [caption id="attachment_415911" align="alignnone" width="350"] Source de l'image : Bizible[/caption]   3. Visiteurs de blog —> Temps actif passé Ce n'est pas suffisant de mesurer uniquement le temps passé sur une page, car vous ne savez pas s'il s'agit de temps actif ou si votre contenu est seulement ouvert dans un onglet délaissé. Suivre le temps actif vous permet de savoir pendant combien de temps l'utilisateur prête activement attention à votre contenu, et par conséquent, à quel point ce contenu est utile pour votre public cible. Peut-être ne voient-ils même pas vos appels à l'action (CTA). Que devez-vous abandonner étant donné que les gens n'y font pas attention, et que devez-vous retravailler ? Pour le mesurer : les logiciels d'analyse de contenu comme Chartbeat ou les extensions WordPress comme Riveted peuvent suivre l'activité de l'utilisateur, notamment l'usage de la molette et du clavier, les clics et la visibilité de la page, pour déterminer si le lecteur est actif sur votre page ou en état de veille. 4. Nombre de liens entrants  —> Qualité des liens entrants Les sites Web de bonne qualité sont jugés par les moteurs de recherche comme étant des ressources fiables et de bonne réputation. Les sites Web de mauvaise qualité peuvent en revanche pénaliser le référencement de votre site Web. C'est la raison pour laquelle il est bien plus important d'avoir moins de liens, mais de bonne qualité, que des dizaines de liens de mauvaise qualité. Au lieu de suivre le nombre de liens entrants que vous obtenez, concentrez-vous sur ces questions : comment certains liens entrants ont-ils favorisé votre référencement pour certains mots-clés ? Votre trafic organique augmente-t-il ? Pour le mesurer : pour déterminer les liens de qualité, vérifiez que le site soit : -Pertinent pour votre site -Sérieux / fiable -Attrayant pour le public, ou seulement conçu pour les robots d'indexation -Lié à d'autres sites de spam, comme les jeux en ligne, les prêts sur salaire, etc. -Des liens de vente 5. Portée des média sociaux —> Implication dans les média sociaux Bien qu'il soit utile de disposer d'une large communauté sur les réseaux sociaux, cela s'avère inutiles pour votre business si celle-ci n'y est pas active. Combien de personnes interagissent réellement et cliquent sur vos articles ? Et qui sont-elles ? Répondre à ces questions vous permettra de vous assurer que vous publiez le bon contenu pour les bonnes personnes et au bon endroit. Pour le mesurer : les types d'activité varient selon les plateformes de média sociaux. Surveillez les scores d'activité de Facebook et le nombre de clics, likes, partages et commentaires ; les retweets, réponses ou favoris sur Twitter ; les likes, commentaires ou ré-épinglages sur Pinterest ; les likes, commentaires ou partages sur Google+, etc. « Nous possédons une structure spécifique installée dans Wrike afin de pouvoir surveiller nos campagnes et publications, et comparer nos résultats chaque trimestre. Nous cherchons constamment à nous assurer que nous restons stable ou que nous faisons les choses plus rapidement. » — Kate Chalmers, directrice des opérations marketing à Hootsuite 6. Désabonnement d'e-mails —> Abonnés inactifs Certaines personnes qui s'abonnent à votre liste se désintéresseront de vos e-mails. C'est la raison pour laquelle de nombreux responsables marketing surveillent le nombre de destinataires qui se désabonnent. Mais tout le monde ne se désabonne pas, surtout lorsque cela demande moins de clics de supprimer les e-mails inintéressants. Mais pour que votre liste d'abonnés soit représentative, il est important de suivre les abonnés non actifs. Comme le souligne Lindsay Kolowich de HubSpot, les clients recevant les e-mails peuvent présenter de faibles taux d'activité et envoyer ces « graymails » directement à la corbeille. Cela signifie que vos e-mails sont envoyés, mais non lus. Pour le mesurer : décidez de la définition de l'inaction dans votre organisation marketing. Est-ce quelqu'un qui n'a pas cliqué sur un e-mail depuis trois mois ? Un an ? Ensuite, envisagez la mise en œuvre d'un désabonnement automatique qui supprimera les destinataires de votre liste, puis envoyez-leur un e-mail les avertissant qu'ils ont été désabonnés. 7. Trafic sur site Web —> Taux de conversion sur site Web De nombreux efforts de marketing visent à renforcer le trafic sur votre site Web, et bien sûr, vous devez surveiller le nombre de personnes que vous réussissez à attirer vers votre site et l'origine de ces personnes. Mais si vous vous concentrez seulement sur les visites, sans prêter autant d'attention à la conversion, vous perdez votre argent et votre temps. De plus, diriger vos efforts vers l'augmentation des taux de conversion peut avoir des conséquences considérables sur votre entreprise : imaginez la différence que pourrait impliquer ne serait-ce que 1 ou 2 % de nouveaux clients au début du processus d'achat. Pour le mesurer : tout d'abord, définissez ce qu'est une conversion. Est-ce un achat ? Une demande de rendez-vous ou d'informations supplémentaires ? Une inscription à un essai gratuit ? Lorsque vous avez clairement défini ce que vous souhaitez mesurer, créez une page de renvoi visible uniquement aux visiteurs convertis. Veillez cependant à ce que le trafic ne puisse être renvoyé à cette page d'une autre façon, ou vos chiffres seront faussés. 8. Nombre de MQL —> Rapport entre MQL et SQL Les MQL (Marketing Qualified Leads, prospects qualifiés par le service marketing) sont généralement définis comme des prospects du début du processus de vente ayant indiqué être prêts à acheter, ou au moins à parler avec un représentant commercial, en téléchargeant des guides d'achat, en demandant une démo ou en s'inscrivant pour un essai gratuit. Les SQL (Sales Qualified Leads, prospects qualifiés par le service commercial) sont des clients potentiels que le service commercial définit comme prêts pour un suivi direct. Le pourcentage de MQL acceptés comme SQL est un bon indicateur de la santé de votre entreprise et de la capacité de votre équipe marketing à qualifier et à filtrer les prospects. C'est également une excellente indication du niveau d'alignement et de communication existant entre vos équipes marketing et commerciale, car un faible taux donne l'alarme d'une déconnexion entre les services marketing et commercial. Pour le mesurer : divisez le nombre de SQL par le nombre de MQL pour calculer votre taux de conversion de MQL à SQL. Quel est le bon taux ? Après avoir analysé des centaines de sociétés, Implicit a conclu que le taux moyen de conversion est de 13 % et qu'il faut compter environ 84 jours pour la conversion. Mais souvenez-vous : ce nombre varie considérablement selon la source du prospect. Par exemple, les prospects de sites Web se convertissent avec un taux de 31,3 %, les renvois avec un taux de 24,7 % et les webinars avec un taux de 17,8 %. Les campagnes d'e-mails convertissent seulement à 0,9 %, les listes de prospects à 2,5 % et les événements à 4,2 %. 9. Métriques externes —> Métriques internes Bien sûr, il est important de surveiller les métriques externes comme la qualité, la quantité et la conversion des prospects. Mais si l'un de ces chiffres commence à baisser, comment saurez-vous ce que vous devez améliorer si vous ne prêtez pas attention à la façon dont est fait le travail ? Lorsqu'il s'agit de tirer le meilleur parti de vos ressources internes, ne vous basez pas uniquement sur votre intuition. Maintenez l'efficacité de votre équipe marketing en suivant le nombre d'heures passées en réunions-bilans, sur des tâches répétitives pouvant être automatisées, à gérer des interruptions pouvant être évitées, et sur l'efficacité de vos processus de révision et d'approbation. Pour le mesurer : faites des vérifications fréquentes avec votre équipe pour identifier les obstacles et recueillir des retours sur les possibles améliorations de vos processus. Premier Sotheby's Realty utilise Wrike pour suivre et améliorer sa gestion du travail, et réaliser rapidement des rapports sur la productivité des équipes avec des chiffres réels. « Le grand avantage de Wrike, c'est que lorsque vous travaillez avec 900 individus et prestataires indépendants, il est essentiel d'être capable de prouver votre valeur », explique Christina Anstett, spécialiste en marketing direct à Sotheby's. « Sortir un rapport et leur montrer le nombre de tâches qui ont été réalisées pour leur compte pendant une durée déterminée représente pour nous une force incomparable. » Utilisez les bonnes métriques marketing pour développer votre entreprise Quelles métriques avancées utilisez-vous pour améliorer vos efforts en marketing ? Écrivez un commentaire et dites-nous quelles métriques nous devrions, selon vous, ajouter à notre liste. Sources : themarketingscore.com, docurated.com, blog.hubspot.com, marketingprofs.com, contently.com, bizible.com 

7 pratiques de gestion de produits pour débutants
Conseils d'affaires 5 min. lus

7 pratiques de gestion de produits pour débutants

La gestion de produits n'a rien d'un jeu d'enfant. À la fois stratège, analyste, responsable marketing et dirigeant, le gestionnaire de produits doit maintenir l'équilibre entre les objectifs commerciaux et les besoins des clients, dans le but de créer un produit innovant et apprécié des utilisateurs. Les meilleurs chefs de produits sont dans une constante dynamique d'apprentissage et d'amélioration de leurs modes de travail. Si vous débutez votre carrière en gestion de produits ou souhaitez simplement mieux comprendre ce poste, les sept bonnes pratiques suivantes, recueillies auprès d'experts en gestion de produits sur Quora, offrent un aperçu précieux sur l'art et la manière de gérer des produits. Les bonnes pratiques à adopter en gestion de produits 1. Comprenez les objectifs de la société Comment votre société mesure-t-elle le succès ? Comment la stratégie produit soutient-elle les objectifs principaux de l'entreprise ? Quel est votre client idéal, et à quels besoins vos produits répondent-ils ? Si vous êtes un chef de produit junior, prenez le temps de comprendre les aspects les plus importants aux yeux des dirigeants et des parties prenantes (notamment les utilisateurs) et alignez-vous sur ceux-ci lorsque cela vous est possible. 2. Établissez un dialogue avec les clients Les clients et les utilisateurs actuels sont votre ressource la plus précieuse. Après tout, à quoi bon développer un produit fantastique si personne ne veut l'utiliser ? Nombre de vos clients actifs accepteront de vous indiquer les fonctions qu'ils utilisent et apprécient le plus, et celles qu'ils abhorrent. Leurs points de vues sont essentiels pour comprendre la valeur réelle de votre produit et développer une bonne feuille de route de gestion de produits. Réalisez des tests utilisateurs ou une courte enquête pour savoir comment les clients interagissent avec votre produit. Essayez des logiciels de cartographie interactive pour voir comment les utilisateurs interagissent avec votre site, et recueillez leurs commentaires lorsque vous en avez la possibilité. 3. Sollicitez les connaissances de vos équipes de ventes et d'assistance Votre équipe de ventes, en communication constante avec les clients potentiels, a un aperçu très utile du marché, des forces et des faiblesses de vos produits, et des problèmes que les clients tentent de résoudre en se tournant vers vos produits. De même, votre équipe d'assistance sait mieux que quiconque comment les clients utilisent le produit (et non pas comment vous pensez qu'ils sont censés l'utiliser). Écoutez les appels d'assistance pour connaître les difficultés, les plaintes et les questions récurrentes traitées par vos équipes et pointer les aspects de votre produit que vous devez placer en priorité. 4. Faites usage de votre produit ! Vous connaissez le « dogfooding » (« Manger sa propre nourriture pour chien ») ? Cela peut sembler aller de soi, mais vous devez réellement l'appliquer et utiliser vos produits au quotidien. En quoi la version d'essai diffère-t-elle du produit payant ? Quelles fonctionnalités fonctionnent bien sur les appareils mobiles et quelles sont celles qui fonctionnent moins ? L'interface utilisateur est-elle intuitive ? Rencontrez-vous régulièrement des problèmes ou des bugs ? Vous devez connaître votre produit mieux que personne. 5. Analysez d'autres produits Pensez aux produits et aux sites Web que vous utilisez et que vous appréciez : qu'est-ce qui les rend si attrayants ? Comment leurs pages d'inscription et de demande d'essai sont-elles conçues ? Comment fonctionne le processus d'achat ? Si vous avez eu une mauvaise expérience, quelles en sont les raisons ? Gardez les yeux ouverts et compilez vos idées et vos inspirations dans un dossier afin de guider vos choix stratégiques de gestion de produits. 6. Planifiez, exécutez, réitérez Utilisez les informations et opinions que vous aurez réunies en suivant les instructions précédentes pour définir votre vision à long terme du produit. Décomposez ensuite cette vision en répétitions : développez, exécutez, et appliquez ce que vous aurez appris pour améliorer et définir la répétition suivante. Procéder ainsi vous aidera à déterminer les fonctionnalités et capacités à prioriser dans la version suivante (et à justifier cette priorisation auprès des dirigeants et des parties prenantes). 7. Communiquez avec des pairs de votre communauté Vous connecter à des communautés en ligne est un excellent moyen d'être à jour sur les tendances du secteur et des bonnes pratiques, d'étendre votre réseau, et d'apprendre de la part de gestionnaires de produits chevronnés, possédant des dizaines d'années d'expérience. Les groupes LinkedIn tels que Product Management Networking Group et Product Development & Management Association, la catégorie Gestion de produits sur Quora, et la communauté Slack Product Manager HQ sont toutes d'excellentes ressources pour apprendre et vous connecter à d'autres professionnels de la gestion de produits. Vous souhaitez vous lancer dans une carrière de gestionnaire de produits ? Concrètement, quelles sont les tâches quotidiennes d'un chef de produits ? Comment débuter ? Quelles ressources disponibles favorisent le succès des futurs gestionnaires de produits ? Quels sont les outils de gestion de produits courants ? Si vous pensez entreprendre une carrière dans la gestion de produits, consultez l'introduction de notre cours intensif dans le domaine : Gestion de produits 101 : comment devenir gestionnaire de produits Lectures complémentaires : Qu'est-ce que la gestion de produits ? 12 choses qu'un gestionnaire de produits devrait faire le premier mois dans une nouvelle entreprise Passer à la gestion de produits Guide de terrain de la gestion de produits 20 livres à lire absolument par les gestionnaires de produits et les responsables marketing

Bourreaux de travail, conseils pour équilibrer travail-vie personnelle
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Utilisez ces 10 stratégies pour impressionner votre patron "travaillomane" — sans en devenir un vous-même. 

Profil client : quelles informations pour dresser un portrait idéal ?
Conseils d'affaires 5 min. lus

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Voici quelques conseils vous permettant d'élaborer, avec précision et efficacité, un profil client unique et pertinent, face à l'évolution du marché.

Pourquoi avez-vous besoin d'un flux de travail Marketing ? (infographie)
Marketing 3 min. lus

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L'une des clés pour profiter des bénéfices d'un bon flux de travail est de le personnaliser selon les besoins de votre équipe.

5 conseils pour éviter à votre équipe des erreurs de communication
Collaboration 7 min. lus

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Le mélange des différents points de vue et personnalités, que chaque personne apporte dans un groupe, contribue à rendre une équipe excellente. Mais ces différences signifient aussi que des incompréhensions et des malentendus peuvent surgir à tout moment. Et lorsque cela se produit, une certaine tension peut naître au sein de votre équipe, risquant ainsi de compromettre le succès de votre projet, voire même, de votre organisation. Lorsque la communication au sein de votre équipe commence à se détériorer, que faites-vous ? Et comment faites-vous pour réduire le nombre d’incidents en chemin ? Chez Wrike, un des principaux objectifs est de simplifier la communication des équipes pour travailler ensemble. D’autant plus que nous sommes une équipe dispersée et que nous avons connu notre lot d’erreurs de communication. Voici les solutions et les stratégies de communication que nous avons tirées de notre expérience au cours de ces dernières années. Définissez préalablement les objectifs et les attentes La collaboration se passe bien mieux si tout le monde est sur la même longueur d’onde. Ne quittez donc pas les réunions ou les sessions de remue-méninge en pensant que chacun connaît bien les rôles, les actions à mener, les délais et les objectifs. Vous pourriez finir par entendre « n’était-ce pas à Jeff de s’occuper de ça ? » ou « je croyais que c’était à terminer pour la semaine prochaine. » Reportez par écrit les actions à mener, les tâches et les délais lors des réunions. À la fin de chaque réunion, rappelez brièvement les responsabilités et délais de chacun et envoyez une note de suivi pour que tout le monde soit totalement sûr des étapes à suivre. Encore mieux, assignez des tâches avec votre logiciel de gestion du travail. Grâce à Wrike, le Monterey Bay Aquarium (Aquarium de la baie de Monterey) peut définir les priorités au début de chaque projet pour que les membres de l’équipe puissent avoir accès aux références et savoir exactement ce qu’ils doivent faire. Katy Scott, responsable de l’apprentissage numérique au Monterey Bay Aquarium a déclaré : « Savoir clairement quel est l’objectif pour ensuite travailler dessus fait partie intégrante d’une progression continue. » Arrêtez d’envoyer des e-mails... Trop de messages, trop de pièces jointes, trop de commentaires imprécis sans contexte clairement défini... L’e-mail favorise les erreurs de communication. De plus, tout ce désordre numérique provoque un stress qui n’est pas nécessaire ! Transférez les communications de votre équipe vers votre outil de gestion du travail, qui vous permet de discuter du travail et de joindre des fichiers associés directement à la tâche. Ou optez pour des applis de messagerie instantanée destinées aux équipes telles que Slack ou HipChat qui vous permettent de créer des fils de discussion professionnels propres à un service ou à un projet. « Sans Wrike, vous êtes noyés sous les e-mails. Avec Wrike, vous disposez d’un emplacement centralisé accessible par toutes les parties prenantes et les créateurs de contenus pour communiquer : définissez un calendrier, un contenu, un design ou regroupez des problèmes. » - Brian Lam, coordinateur des opérations marketing chez Hootsuite ...ou augmentez votre productivité grâce aux e-mails Pour certaines équipes, réduire le nombre de communications par e-mails est simplement irréaliste. Mais de petits ajustements sur l’utilisation des e-mails peuvent grandement améliorer la communication au sein de votre équipe. Tout d’abord, l’objet du message doit être clair et concis. Si une personne ne lit que l’objet du message, sait-elle exactement ce que vous attendez d’elle ? Cela permet à tout le monde de parcourir sa boîte de réception et de définir efficacement quelles sont les priorités, sans avoir à ouvrir chaque message, et cela facilite les futures recherches de message. Autre astuce : si vous répondez à un long fil d’e-mails ou que vous ajoutez un nouveau participant, résumez les éléments clés au début de l’e-mail sous forme de liste à puce ou de liste numérotée. Une personne peut alors facilement intégrer une conversation et comprendre rapidement et précisément ce qui est attendu d’elle. Découvrez le type de communication préféré de votre équipe Certains membres de votre équipe voudront régler la situation à l’oral ou proposer des idées sans en parler au groupe entier. D’autres préféreront écouter et réfléchir sur ce que les autres ont à dire, pour ensuite noter leurs idées sur une feuille. Découvrez les préférences de communication de chaque membre de votre équipe et essayez de vous y plier dès que c’est possible. En faisant cela, vous leur permettrez de partager leurs opinions plus efficacement pour que leurs collègues entendent réellement ce qu’ils ont à dire. Créez une base de connaissances Vous ajoutez peut-être un nouveau membre à l’équipe qui doit assimiler rapidement les techniques à utiliser. Ou peut-être que vous souhaitez enregistrer les enseignements reçus pour améliorer la façon dont votre équipe travaille. Ou vous souhaitez juste éviter les malentendus en donnant à votre équipe des informations professionnelles précises. Quelle que soit la raison, faciliter l’enregistrement et le partage de connaissances pour votre équipe est un réel moyen d’améliorer la communication. Chez Wrike, nous utilisons une base de connaissances interne qui permet à tout le monde d’accéder facilement aux informations actualisées, à des instructions précises et à des modèles qui permettent de gagner du temps. Voici comment fonctionne notre base de connaissances interne : Chaque fragment d’information ou d’enseignement reçu est stocké dans une tâche et enregistré dans le dossier de la base de connaissances, qui est partagé avec l’ensemble de l’entreprise. Ces tâches ne sont pas attribuées et restent en attente (aucune date d’échéance ne leur est associée). Elles sont donc toujours accessibles en tant que référence. Chaque élément est inclus dans des sous-dossiers relatifs aux services ou aux projets. Puisque les tâches peuvent être modifiées dans plusieurs dossiers en même temps, nous n’avons pas besoin de chercher dans chaque dossier pour trouver l’élément qui nous intéresse ou risquer de passer à côté d’une information utile cachée dans le dossier d’une autre équipe. Pour simplifier un référencement, les fichiers associés sont directement joints aux tâches, avec un affichage clair des versions, ce qui permet d’avoir en tout temps des informations et des instructions à jour. Techniques + Outils = Meilleure communication au sein de l’équipe Nul besoin d’être voyant pour avoir une bonne communication avec votre équipe (même si cela aiderait sûrement). L’application de ces stratégies simples, en compléments de bons outils de communication et de collaboration, favorise les relations au sein de votre équipe, encourage le partage de nouvelles idées et de bonnes pratiques et améliore le processus (et les résultats !) de collaboration au sein de l’équipe. Sources : Inc.com, FastCompany.com

6 tendances qui définiront le travail du futur (infographie)
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Quelles surprises réserve la prochaine décennie aux travailleurs d'aujourd'hui ?

Logiciel cloud – 10 avantages pour la gestion de projet
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Logiciel cloud – 10 avantages pour la gestion de projet

Selon nous, voici les 10 avantages principaux liés à l'utilisation d'un logiciel cloud en gestion de projets et les raisons pour lesquelles nous avons décidé, chez Wrike, d’adopter le cloud.

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